Des médias l'ont dite déchirée, entre son amour naturel pour un père hospitalisé, menacé, Johnny Hallyday, et son histoire d'amour avec Julien Delajoux, frère du chirurgien désigné coupable par l'entourage du rocker.
Ce matin, Laura Smet se livre dans le Journal du Dimanche.
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Ce n'est pas une interview, mais une mise au point que fait la fille du chanteur et de l'actrice Nathalie Baye, alors que son père, en convalescence après son coma artificel, a fait une apparition publique dans les rues de Los Angeles. «Depuis que mon père a été hospitalisé à Los Angeles, j’ai vu et entendu n’importe quoi. Alors qu’il n’était même pas réveillé, certains ont manqué de la plus élémentaire décence à son égard et à l’égard de sa famille. Je me suis tue et j’espère que je pourrai continuer à le faire, mais je me dois de faire une mise au point», commence celle qui a démarré dans le cinéma en jeune femme malade et mourante dans «Les corps impatients». «Non, je ne suis pas écartelée, poursuit-elle. Mon père connaissait le Docteur Stéphane Delajoux avant ma rencontre avec son frère Julien». Ce trader de 37 ans, au physique latin, avait été présenté à Johnny Hallyday début juin, à l'occasion d'un concert de l'idole des jeunes au Stade de France, devant 240 000 fans.
Et d'ajouter cette phrase étonnante: «D’ailleurs, le Docteur Delajoux l’avait opéré sans le moindre problème, à ma connaissance». Après le producteur Jean-Claude Camus, qui avait qualifié de «massacre» l'opération effectuée par le chirurgien Stéphane Delajoux sur Johnny, souffrant d'une hernie discale, ce dernier et sa femme Laeticia ont pourtant déposé une plainte contre lui.
Elle évoque ensuite, sans entrer dans les détails, le bras de fer judiciaire lancé pour désigner les responsables des ennuis de santé de Johnny Hallyday, et, de là, le remboursement de la tournée qui devait commencer le 8 janvier.
«Pour moi, les choses sont très claires, écrit la jeune femme de 26 ans. La seule qui m’importe, c’est la santé de mon père. Je suis sa fille. Je l’aime et je l’admire et je ne souhaite qu’une chose, du fond du cœur, c’est qu’il aille le mieux possible. Le reste m’indiffère et je veux le dire. Je ne suis pas écartelée du tout. Tous ceux qui m’entourent le savent et je ne laisserai pas dire n’importe quoi sur moi».
Le Parisien .
Ah ben ça c'est pas de bol alors !!!!! Quelle idée aussi !!