N’oublions pas qu’en décembre 1812, par des températures jusqu’a -35°C, les derniers restes de la Grande Armée de Napoléon battent péniblement en retraite avec à leurs trousses, les Cosaques du tsar Alexandre Ier.
Ce 20 décembre 1812, l’empereur Napoléon qui était arrivé à Paris, depuis deux jours, suite au coup d’état manqué des généraux, Malet, Guidal et Lahorie (qui était également l’amant de Sophie Hugo, mère de Victor), doit prendre des mesures pour la sauvegarde de l’Empire, mais aussi la levée en masse des conscrits de 1813. Quant aux débris de la Grande Armée, ils arrivent péniblement à Königsberg (aujourd’hui, Kaliningrad en Russie). La Grande Armée ne trouveras du repos qu’une fois passé la frontière, le 31 décembre 1812.
La Grande Armée qui était composé de français, belges, hollandais, italiens, polonais, lithuaniens, tartares, portugais, espagnols (oui il y en avait aussi des espagnols dans l’armée française), d’irlandais, luxembourgeois, suisses, mamelouks, mais aussi nos alliées de 1812, les prussiens, et les autrichiens, badois, saxons etc. Qui était entrés en Russie le 30 juin 1812 avec une armée forte de +/- 635.000 hommes, et qui devaient repassés la même frontière le 31 décembre 1812, ne devait plus compter que +/- 35.000 hommes.
Napoléon, ne dira t’il pas pour ses 35.000 hommes, les hommes de Bronze.
Les pertes dans l’armée russes sont et resterons inconnue.
N’oublions pas d’avoir une pensée pour tous ses soldats.
Vive l’Empereur,
Ce 20 décembre 1812, l’empereur Napoléon qui était arrivé à Paris, depuis deux jours, suite au coup d’état manqué des généraux, Malet, Guidal et Lahorie (qui était également l’amant de Sophie Hugo, mère de Victor), doit prendre des mesures pour la sauvegarde de l’Empire, mais aussi la levée en masse des conscrits de 1813. Quant aux débris de la Grande Armée, ils arrivent péniblement à Königsberg (aujourd’hui, Kaliningrad en Russie). La Grande Armée ne trouveras du repos qu’une fois passé la frontière, le 31 décembre 1812.
La Grande Armée qui était composé de français, belges, hollandais, italiens, polonais, lithuaniens, tartares, portugais, espagnols (oui il y en avait aussi des espagnols dans l’armée française), d’irlandais, luxembourgeois, suisses, mamelouks, mais aussi nos alliées de 1812, les prussiens, et les autrichiens, badois, saxons etc. Qui était entrés en Russie le 30 juin 1812 avec une armée forte de +/- 635.000 hommes, et qui devaient repassés la même frontière le 31 décembre 1812, ne devait plus compter que +/- 35.000 hommes.
Napoléon, ne dira t’il pas pour ses 35.000 hommes, les hommes de Bronze.
Les pertes dans l’armée russes sont et resterons inconnue.
N’oublions pas d’avoir une pensée pour tous ses soldats.
Vive l’Empereur,