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    Travailler en prison : un outil contre la récidive

    Jean-pierre
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    Travailler en prison : un outil contre la récidive Empty Travailler en prison : un outil contre la récidive

    Message par Jean-pierre Jeu 10 Déc - 0:37

    Ce n'est pas un conte de fées, mais ça y ressemble. En septembre dernier, un détenu a obtenu sa licence d'administration publique avec mention. Un cas insolite qui ne court pas les cellules. Qui tranche, aussi, avec les critiques formulées à l'encontre du milieu carcéral.

    Lieu de violence, école du crime, terrain d'épanouissement des caïds, la prison est souvent accusée de mener à la récidive, au suicide ou à la dépression. "Ce qui caractérise massivement les maisons d'arrêt visitées est l'inactivité, avec ce qu'elle peut engendrer comme lassitude ou ennui", note le dernier rapport du contrôleur général des prisons Jean-Marie Delarue. D'un autre côté, tempère Laurent Ridel, sous-directeur des politiques pénitentiaires, "on ne peut pas demander à la prison une réussite absolue là où tout le reste a échoué. Dans sa mission, l'administration pénitentiaire, seule, ne peut rien faire."

    90.000 personnes entrent chaque année en prison pour des peines de plus en plus longues, ce qui place la réinsertion et le travail au coeur de la mission carcérale. Actuellement, environ 40 à 50 % de détenus travaillent en maisons centrales et centres de détention. Entre 12 et 15 % de détenus séjournant en maison d'arrêt exercent une activité rémunérée, un taux qui s'explique notamment par la courte durée des peines, en moyenne neuf mois. "Cela évite de s'ennuyer, de se constituer un pécule et de bénéficier d'une petite formation professionnelle", souligne le dernier rapport du contrôleur général des prisons. Surtout pour ceux qui ne travaillaient pas avant leur incarcération, soit 60 % des détenus.


    Je ne suis pas contre le travail en prison, je dirais même que je suis pour que les détenus soit rémunérer sur une base normal du SMIC après tout, tout travail mérite salaire et si les détenus font correctement leur travail, il n'y apas de raison pour qu'ils ne soient pas correctement payé.

    Mais quid des victimes là dedans Question Pas un mot pour elle et là je ne trouve pas ça normal, je pense qu'une partie des revenus devrait aller soit directement à la personne qui à été victime du délinquant soit que cet argent soit versés à un fond de soutiens au victimes.

      La date/heure actuelle est Lun 13 Mai - 15:54