par NIKOL Mer 2 Déc - 19:05Après une première action sur le toit même du Palais Bourbon, des militants de Greenpeace ont provoqué une interruption de séance mercredi à l'Assemblée nationale, en plein débat sur le prochain sommet de Copenhague sur le réchauffement climatique. Un peu plus tard dans l'après-midi, une alerte à la bombe a achevé de créer l'agitation dans la chambre basse.
Vers 17h10, un appel anonyme a été reçu au standard de l'Assemblée nationale annonçant qu'une bombe avait été placée au 1er étage, selon une source policière qui précisait qu'après l'évacuation des locaux concernés, les chiens spécialisés de la police n'ont trouvé aucun engin suspect.
Un peu plus tôt, peu après 15h, des militants de Greenpeace avaient fait irruption dans les balcons réservés au public, avant que la séance ne soit suspendue un quart d'heure environ. Le député François Sauvadet (Nouveau Centre), qui s'exprimait alors à la tribune, a dénoncé des "méthodes de voyou".
Selon un communiqué de Greenpeace, les manifestants affichaient des messages interpellant Nicolas Sarkozy, "aux actes, Monsieur le Président". D'après l'association écologiste, "une manifestante est même parvenue jusqu'à l'hémicycle".
Un peu plus tôt, grâce à un camion de pompier et sa grande échelle, 10 militants de Greenpeace avaient pu investir le toit de l'Assemblée Nationale pour y afficher ces messages avant d'être délogés par les autorités, selon l'association, qui ajoute que "de nombreuses interpellations ont eu lieu".
De source policière, on précisait qu'une cinquantaine de militants ont été interpellés et amenés au commissariat central du VIIème et du XVème arrondissement de Paris. Ils étaient auditionnés par les policiers. Un dépôt de plainte d'un représentant de l'Assemblée était envisagé, ajoutait-on de même source.
L'association écologiste entendait ainsi faire un clin d'oeil à la phrase de l'ancien président Jacques Chirac à Johannesburg lors du Sommet Mondial pour le développement durable en 2002: "la maison brûle et nous regardons ailleurs".
Pour Greenpeace, "la maison brûle toujours et Copenhague approche". L'association "appelle notamment le président français Nicolas Sarkozy à passer des grands discours incantatoires, de la gesticulation médiatique à de vrais engagements concrets et chiffrés de la part de la France", explique Karine Gavand, chargée de campagne climat pour Greenpeace France, dans le communiqué. Elle demande au chef de l'Etat de s'engager à "réduire les émissions françaises de 40% d'ici à 2020 et chiffrer à 4,2 milliards d'euros par an la contribution de la France au soutien des pays en développement", conclut-elle.
La conférence sur le climat de Copenhague (7-18 décembre) doit tenter de parvenir à un accord qui succède au protocole de Kyoto sur les émissions de gaz à effet de serre. AP
Nouvel Obs
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chauffe a l'assemblée nationale !
NIKOL- Se défoule à fond
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Jean-pierre- Se défoule à fond
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Ce sont des méthodes de voyou et je dois dire que malgré ma tendance écolo, cette association me sort par les trous de nez, ce sont de véritables intégristes de leur propre écologie et tout ce qui ne va pas dans leur sens c'est de la m...
Ils emploient systématiquement des moyens de voyou pour se faire plus de pub qu'autre chose et se sont des méthodes que je n'aime vraiment pas.
Il ne faut pas se leurrer, il n'y aura pas de plainte contre eux et il seront relâcher avec un petit sermon qui les fera bien rigoler.
Ils emploient systématiquement des moyens de voyou pour se faire plus de pub qu'autre chose et se sont des méthodes que je n'aime vraiment pas.
Il ne faut pas se leurrer, il n'y aura pas de plainte contre eux et il seront relâcher avec un petit sermon qui les fera bien rigoler.
NIKOL- Se défoule à fond
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Les mesures de sécurité vont être renforcées à l'Assemblée après le coup d'éclat de Greenpeace mercredi. Des militants de l'organisation écologique sont parvenus dans l'après-midi à perturber le débat sur la prochaine conférence de Copenhague qui se tenait à l'Assemblée nationale.
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Video : Les militants délogés du toit du Palais Bourbon
C'est au moment où le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, achevait son discours qu'une bonne dizaine de militants, assis dans les tribunes du public, ont retiré leurs vêtements pour exhiber des tee-shirts noirs siglés «Greenpeace» et ont arboré des banderoles jaunes indiquant «Aux actes, monsieur le président». Fait rarissime, une militante a réussi à descendre, via une corde, jusque dans l'hémicycle au niveau des travées des députés UMP. Elle a été évacuée manu militari tout comme les autres manifestants. La séance a été brièvement interrompue et l'ensemble du public a été évacué.
Les députés Verts Noël Mamère et Yves Cochet ont applaudi l'initiative de Greenpeace, avant de réfuter l'accusation de complicité portée contre eux par des députés UMP et NC. Le patron des députés NC François Sauvadet a dénoncé des «pratiques de voyous au sein de l'hémicycle», avant d'annoncer qu'il demanderait des sanctions contre les élus écologistes, citant nommément Noël Mamère.
Bernard Accoyer annonce le dépôt de deux plaintes
Dans le brouhaha, le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer (UMP), a regretté «l'attitude» d'un «certain nombre de collègues élus du peuple», rappelant que les tickets pour les tribunes du public étaient attribués via les députés. Il a ensuite annoncé le dépôt de deux plaintes.
A l'extérieur de l'hémicycle, les manifestants ont fait l'objet de fouilles et de vérification d'identité par les gardes républicains.
Auparavant, en milieu de journée, des militants de l'organisation avaient brièvement investi le toit du Palais Bourbon pour y déployer une banderole avant d'être rapidement délogés par les forces de l'ordre.
Quelques heures plus tard, à 17 heures, l'hémicycle a dû être évacué en raison d'une alerte à la bombe sans qu'on sache si elle était liée ou non au coup d'éclat de Greenpeace. Les services de sécurité ont aussitôt fouillé les lieux. Un sac, appartenant visiblement à un député, a été retrouvé dans l'hémicycle. «Rebranchez le brouillage GSM dans l'hémicycle pour éviter qu'ils fassent sauter (leur éventuelle bombe) par un appel sur téléphone portable», a lancé un responsable de la sécurité.
La salle des Quatre colonnes, où se rencontrent élus et journalistes, a elle aussi été évacuée, tout comme l'ensemble des journalistes accrédités à l'Assemblée nationale.
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C'est au moment où le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, achevait son discours qu'une bonne dizaine de militants, assis dans les tribunes du public, ont retiré leurs vêtements pour exhiber des tee-shirts noirs siglés «Greenpeace» et ont arboré des banderoles jaunes indiquant «Aux actes, monsieur le président». Fait rarissime, une militante a réussi à descendre, via une corde, jusque dans l'hémicycle au niveau des travées des députés UMP. Elle a été évacuée manu militari tout comme les autres manifestants. La séance a été brièvement interrompue et l'ensemble du public a été évacué.
Les députés Verts Noël Mamère et Yves Cochet ont applaudi l'initiative de Greenpeace, avant de réfuter l'accusation de complicité portée contre eux par des députés UMP et NC. Le patron des députés NC François Sauvadet a dénoncé des «pratiques de voyous au sein de l'hémicycle», avant d'annoncer qu'il demanderait des sanctions contre les élus écologistes, citant nommément Noël Mamère.
Bernard Accoyer annonce le dépôt de deux plaintes
Dans le brouhaha, le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer (UMP), a regretté «l'attitude» d'un «certain nombre de collègues élus du peuple», rappelant que les tickets pour les tribunes du public étaient attribués via les députés. Il a ensuite annoncé le dépôt de deux plaintes.
A l'extérieur de l'hémicycle, les manifestants ont fait l'objet de fouilles et de vérification d'identité par les gardes républicains.
Auparavant, en milieu de journée, des militants de l'organisation avaient brièvement investi le toit du Palais Bourbon pour y déployer une banderole avant d'être rapidement délogés par les forces de l'ordre.
Quelques heures plus tard, à 17 heures, l'hémicycle a dû être évacué en raison d'une alerte à la bombe sans qu'on sache si elle était liée ou non au coup d'éclat de Greenpeace. Les services de sécurité ont aussitôt fouillé les lieux. Un sac, appartenant visiblement à un député, a été retrouvé dans l'hémicycle. «Rebranchez le brouillage GSM dans l'hémicycle pour éviter qu'ils fassent sauter (leur éventuelle bombe) par un appel sur téléphone portable», a lancé un responsable de la sécurité.
La salle des Quatre colonnes, où se rencontrent élus et journalistes, a elle aussi été évacuée, tout comme l'ensemble des journalistes accrédités à l'Assemblée nationale.
francoise- Râleur
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j'ai vue cela a la tele hier soir, ils ont eu de l'animations les deputés
Jean-pierre- Se défoule à fond
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Ils me chauffent les oreilles les gens de Greenpeace a faire des trucs comme ça ils sont toujours dans l'illégalité et l'assemblée nationale ce n'est pas un cirque ou ils peuvent venir faire les singes.
A priori c'est une assemblée d'élu du peuple et leur action peut être considérer comme une injure au peuple mais il n'en on rien à faire du moment qu'ils se font de la pub pour leur association c'est tout ce qui compte.
Là encore, ils vont s'en sortir avec une petite tape sur les doigts alors que leur minable action aura couté pas mal d'argent au contribuable.
A priori c'est une assemblée d'élu du peuple et leur action peut être considérer comme une injure au peuple mais il n'en on rien à faire du moment qu'ils se font de la pub pour leur association c'est tout ce qui compte.
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NIKOL- Se défoule à fond
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Et l'autre tordu de Mamére qui applaudit !!!! Je supporte pas ce type vraiment il me tape sur les nerfs !!!!
Il aurait mieux fait de rester derriere son pt écran ! GRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
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Jean-pierre- Se défoule à fond
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Au moins on est d'accord sur se sujet, je n'avais pas d'opinion particulière sur lui lorsqu'il était animateur mais depuis qu'il est dans la politique il est vraiment insupportable et je regrette vraiment que se genre de type représente l'écologie ce n'est vraiment pas une image de marque pour elle.
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