mais c'est pas de moi!
C'est la crise !
Les boulangers ont des problèmes croissants.
Chez Renault, la direction fait marche arrière pendant que les ouvriers débrayent.
A EDF, les syndicats sont sous tension.
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce, ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs, c'est la tuile (toi, toi, mon toit !).
Les menuisiers sont payés avec des chèques en bois.
Les kinés se massent devant les grilles des préfectures en revendiquant.
Tout le monde raconte des salades aux épiciers.
Les salaires des coiffeurs frisent le ridicule.
C'est régime sans sel pour les cyclistes.
Les teinturiers se tuent à la tache.
Les faïenciers en ont raz le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots se battent pour conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit vivent au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le ton.
Les prostituées sont dans une mauvaise passe.
Les imprimeurs sont déprimés et font mauvaise impression.
Et, surtout, ce sont les cafetiers qui trinquent.
C'est la crise !
Les boulangers ont des problèmes croissants.
Chez Renault, la direction fait marche arrière pendant que les ouvriers débrayent.
A EDF, les syndicats sont sous tension.
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce, ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs, c'est la tuile (toi, toi, mon toit !).
Les menuisiers sont payés avec des chèques en bois.
Les kinés se massent devant les grilles des préfectures en revendiquant.
Tout le monde raconte des salades aux épiciers.
Les salaires des coiffeurs frisent le ridicule.
C'est régime sans sel pour les cyclistes.
Les teinturiers se tuent à la tache.
Les faïenciers en ont raz le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots se battent pour conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit vivent au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le ton.
Les prostituées sont dans une mauvaise passe.
Les imprimeurs sont déprimés et font mauvaise impression.
Et, surtout, ce sont les cafetiers qui trinquent.