« Allons jusqu’au bout de la bêtise ! »
C’est un billet d’humeur une impression toute personnelle sur les événements de l’actualité.
Il faut reconnaître en ce moment nous sommes gâtés dans les inepties et la bêtise.
L’affaire d’Outreau.
Le problème des caricatures de Mahomet.
L’affaire du livre de la place Beauvau.
Le porte avions Clémenceaux
Puis la toute dernière en date :
Dans l’entourage de Raymond Devos malade, parait-il qu’il se passe des choses guères catholiques ?
Avant même que le grand humoriste soit disparu du monde des vivants…
L’affaire navrante sent l’odeur nauséabonde l’argent à plein nez !
De mieux en mieux, dans le pitoyable…
Seul les artistes et écrivains nous redonnent un espoir dans la nature humaine.
Ils nous font rêver, respirer leurs bulles d’oxygènes de leurs jubilatoires délires.
Raymond Devos est immense artiste.
Ses sketchs sont uniques dans leur style.
Une cascades de jeu de mots, ou le sens figuré atteint
la quatrième dimension de l’absurde dans l’imaginaire baroque.
J’adore !
Son fameux sketch : « Du bout du bout ! »
Aujourd’hui, pourrait être facilement réactualisé.
Le stock de la bêtise humaine dégoulinante est considérable.
Dans une « connerie » à toujours deux bouts, en particulier dans ses extrêmes.
Les extrêmes ont n’en vient jamais à bout…
Même, si vous casser « une connerie » dans son milieu !
Vous aurez toujours deux bouts, à chaque bout…
L’intelligence comme la bêtise sont antinomiques, mais inséparables.
« L’un se nourrissant de l’autre. »
Un intelligent présidentiable préconise la rupture, pour nous éviter d’aller jusqu’au bout de notre connerie !
Impossible de dissoudre un bout de bêtise, dans un morceau d’intelligence,
Il y a rejet immédiat !
Ma conclusion est mathématiquement simple :
« Tant qu’on fera des soustraction, des divisions, on additionneras les problèmes. »
La bêtise humaine on n’en verra jamais le bout.
Elle serait irréductible dans n’importe segment de vie…
« N’est-ce pas Monsieur Raymond Devos ?
Meilleur santé ! »
Oscar
C’est un billet d’humeur une impression toute personnelle sur les événements de l’actualité.
Il faut reconnaître en ce moment nous sommes gâtés dans les inepties et la bêtise.
L’affaire d’Outreau.
Le problème des caricatures de Mahomet.
L’affaire du livre de la place Beauvau.
Le porte avions Clémenceaux
Puis la toute dernière en date :
Dans l’entourage de Raymond Devos malade, parait-il qu’il se passe des choses guères catholiques ?
Avant même que le grand humoriste soit disparu du monde des vivants…
L’affaire navrante sent l’odeur nauséabonde l’argent à plein nez !
De mieux en mieux, dans le pitoyable…
Seul les artistes et écrivains nous redonnent un espoir dans la nature humaine.
Ils nous font rêver, respirer leurs bulles d’oxygènes de leurs jubilatoires délires.
Raymond Devos est immense artiste.
Ses sketchs sont uniques dans leur style.
Une cascades de jeu de mots, ou le sens figuré atteint
la quatrième dimension de l’absurde dans l’imaginaire baroque.
J’adore !
Son fameux sketch : « Du bout du bout ! »
Aujourd’hui, pourrait être facilement réactualisé.
Le stock de la bêtise humaine dégoulinante est considérable.
Dans une « connerie » à toujours deux bouts, en particulier dans ses extrêmes.
Les extrêmes ont n’en vient jamais à bout…
Même, si vous casser « une connerie » dans son milieu !
Vous aurez toujours deux bouts, à chaque bout…
L’intelligence comme la bêtise sont antinomiques, mais inséparables.
« L’un se nourrissant de l’autre. »
Un intelligent présidentiable préconise la rupture, pour nous éviter d’aller jusqu’au bout de notre connerie !
Impossible de dissoudre un bout de bêtise, dans un morceau d’intelligence,
Il y a rejet immédiat !
Ma conclusion est mathématiquement simple :
« Tant qu’on fera des soustraction, des divisions, on additionneras les problèmes. »
La bêtise humaine on n’en verra jamais le bout.
Elle serait irréductible dans n’importe segment de vie…
« N’est-ce pas Monsieur Raymond Devos ?
Meilleur santé ! »
Oscar