JASPER, Indiana - Trois candidats à un siège parlementaire dans l'Indiana ont accepté de débattre en étant reliés à un détecteur de mensonges, mais le parti d'un des concurrents a rejeté l'idée "bizarre" d'utiliser un outil judiciaire dans le domaine politique.
Le président du parti républicain du district disputé, Larry Shickles, a proposé mercredi au représentant démocrate Baron Hill d'utiliser le détecteur de mensonges, avec son challenger républicain, Mike Sodrel et le candidat du parti libertarien Eric Schansberg. Les trois hommes doivent se retrouver pour le débat le 21 octobre, mais la machine ne sera pas de la partie.
Les comités d'organisation ont déjà fixé la forme et les règles de la rencontre, et il n'est pas question d'en changer, a expliqué Alan Johnson, le doyen de l'université Vincennes à Jasper où doit avoir lieu la rencontre. AP
Ils ont vraiment des drôle d'idée ces étasuniens
Je suppose que comme en France il ne vaut mieux pas et ça risque de ne pas être une bonne publicité pour le fabricant de détecteur de mensonge dans la mesure ou l'appareil risquerait de passer en surchauffe assez rapidement et exploser par la suite
Pourquoi il est impossible que les hommes politique tiennent toutes leur promesse
Parce que si ils essayaient il leur faudrait plusieurs mandat tellement il y a de promesse.