« Mourir de rire dans une drôle de guerre ! »
Louis de Cazenave est mort, Lazare Ponticelli devient le dernier poilu vivant
Louis de Cazenave, l'un des deux derniers poilus de la Première Guerre mondiale,
s'est éteint dimanche au petit matin, à l'âge de 110 ans, faisant de Lazare Ponticelli,
110 ans et de quelques semaines son cadet, le dernier combattant français
de la "Der des der" encore vivant.
La guerre tue !
La preuve : « il n’y a plus qu’un seul poilu survivant ! »
Parait-il que ce fût une drôle de guerre ?
Pourtant, il n’y avait pas de quoi se poiler au front dans les tranchées.
Les épandages de gaz toxique qui vous rendent aveugle, les obus de 88, les tirs de mitrailleuses qui vous tombent sur la tronche de poilu...
« A l'Ouest, rien de nouveau! »...Disait le peuple à l'arrière.
C’est fou ce que c’est drôle comme guerre de position.
Il y a ceux qui sont assis dans les états majors, puis les soldats qui sont définitivement couchés pour l’éternité.
D’où l’expression ensuite : « Alors ça gaze ? »
Une phrase hasardeuse, de quoi vous mettre de mauvais poils pour le restant de la vie, anciens combattants et le peuple juifs.
"Vivement la future guerre moderne propre dite chirurgicale…"
Je finirai mon hommage, par cette anecdote :
J’ai connu un vieux soldat de 14 /18 dans un petit village Vosgien.
Quand il passait sa commande avec humour chez le coiffeur, il disait :
« Vous me ramener les arrières sur le front et vous me dégager les flancs à l’arme blanche ! »
Sacré grand père, il a toujours su garder pile poil le moral notre héros de famille, poilu du chemin des Dames.
oscar
Louis de Cazenave est mort, Lazare Ponticelli devient le dernier poilu vivant
Louis de Cazenave, l'un des deux derniers poilus de la Première Guerre mondiale,
s'est éteint dimanche au petit matin, à l'âge de 110 ans, faisant de Lazare Ponticelli,
110 ans et de quelques semaines son cadet, le dernier combattant français
de la "Der des der" encore vivant.
La guerre tue !
La preuve : « il n’y a plus qu’un seul poilu survivant ! »
Parait-il que ce fût une drôle de guerre ?
Pourtant, il n’y avait pas de quoi se poiler au front dans les tranchées.
Les épandages de gaz toxique qui vous rendent aveugle, les obus de 88, les tirs de mitrailleuses qui vous tombent sur la tronche de poilu...
« A l'Ouest, rien de nouveau! »...Disait le peuple à l'arrière.
C’est fou ce que c’est drôle comme guerre de position.
Il y a ceux qui sont assis dans les états majors, puis les soldats qui sont définitivement couchés pour l’éternité.
D’où l’expression ensuite : « Alors ça gaze ? »
Une phrase hasardeuse, de quoi vous mettre de mauvais poils pour le restant de la vie, anciens combattants et le peuple juifs.
"Vivement la future guerre moderne propre dite chirurgicale…"
Je finirai mon hommage, par cette anecdote :
J’ai connu un vieux soldat de 14 /18 dans un petit village Vosgien.
Quand il passait sa commande avec humour chez le coiffeur, il disait :
« Vous me ramener les arrières sur le front et vous me dégager les flancs à l’arme blanche ! »
Sacré grand père, il a toujours su garder pile poil le moral notre héros de famille, poilu du chemin des Dames.
oscar