PARIS - L'Unostra, qui représente les PME du transport routier, a menacé lundi d'appeler ses adhérents à la grève, en l'absence d'"avancée concrète avant le 23 novembre" de la part du gouvernement sur ses revendications liées à la hausse du prix du gazole.
L'Union nationale des organisations syndicales des transporteurs routiers automobiles affirme que "l'impossibilité pratique pour le plus grand nombre" de répercuter les hausses du gazole "a réduit à néant la marge (déjà très faible) et la trésorerie des TPE du transport" (très petites entreprises, moins de 20 salariés, Ndlr).
L'Unostra, qui a réuni vendredi les présidents de ses syndicats régionaux, réclame "la garantie de contrôles ciblés" par la DGCCRF (direction générale de la concurrence) auprès des chargeurs "réfractaires à l'application de la loi" qui permet de répercuter les hausses du prix du carburant.
L'organisation demande aussi "l'étalement des charges sociales" des 3ème et 4ème trimestres, "le décontingentement des heures supplémentaires" et la "poursuite des dégrèvements liés à la taxe professionnelle".
Vendredi, le secrétaire d'Etat chargé des Transports Dominique Bussereau a annoncé qu'il ferait respecter par les clients du transport routier la facturation des surcoûts de carburant postérieurs à la signature d'un contrat
L'Union nationale des organisations syndicales des transporteurs routiers automobiles affirme que "l'impossibilité pratique pour le plus grand nombre" de répercuter les hausses du gazole "a réduit à néant la marge (déjà très faible) et la trésorerie des TPE du transport" (très petites entreprises, moins de 20 salariés, Ndlr).
L'Unostra, qui a réuni vendredi les présidents de ses syndicats régionaux, réclame "la garantie de contrôles ciblés" par la DGCCRF (direction générale de la concurrence) auprès des chargeurs "réfractaires à l'application de la loi" qui permet de répercuter les hausses du prix du carburant.
L'organisation demande aussi "l'étalement des charges sociales" des 3ème et 4ème trimestres, "le décontingentement des heures supplémentaires" et la "poursuite des dégrèvements liés à la taxe professionnelle".
Vendredi, le secrétaire d'Etat chargé des Transports Dominique Bussereau a annoncé qu'il ferait respecter par les clients du transport routier la facturation des surcoûts de carburant postérieurs à la signature d'un contrat
Pour menacer, ils peuvent toujours menacer ça ne va pas servir à grand chose surtout si ils sont seul.
De toute manière crise du pétrole ou pas la mort des petits patrons est programmé.