A l’occasion du lancement, le 17 septembre, du 23e Congrès mondial de la route, Jean-Louis Borloo a prononcé, en présence de Dominique Bussereau, un discours sur le thème majeur de ce congrès, le développement durable.
Organisé par l’association mondiale de la route (AIPCR), ce congrès réunit dans la capitale française les représentants de 60 pays, afin d’évoquer l’ensemble des sujets liés à la route (dernières technologies, dernières expérimentations réglementaires, tarifaires, techniques).
Dédiées au développement durable, trois tables rondes aborderont :
- la question de la tarification routière. La détermination du "juste prix écologique" doit prendre en compte le coût du réchauffement climatique et permettre une utilisation plus rapide des innovations technologiques (moteurs propres) ;
- l’acceptabilité sociale et économique de la tarification, qui doit concilier justices économique et sociale ;
- les enjeux de la tarification étendue ou généralisée.
Deux projets français ont été primés par l’AIPCR :
- le premier permet de substituer aux liants bitumineux des liants végétaux dans l’élaboration des revêtements des routes ;
- le second permet de fabriquer ces revêtements pour les répandre à une température de 120 à 140 degrés au lieu de 180 degrés.
Lorsque l'on pense réchauffement climatique, on ne pense pas au "détail" les liants bitumineux ou la façon de fabriquer des revêtement.
Pourtant ça doit avoir sont importance aussi et tous les détails compte dans le combat pour la planète car ce sont des millier de Kilomètre qui sont fait avec ce revêtement tous les ans.