On ne peut pas accuser Suella Braverman de racisme, à moins d’une sacrée dose de mauvaise foi. Née d’un père kényan catholique et d’une mère mauricienne tamoule, tous deux originaires d’Inde, elle a été élevée en Grande-Bretagne et s’est convertie au bouddhisme. Brillante étudiante en droit, elle est plutôt un pur produit de la méritocratie britannique (qui prouve au passage que, contrairement à ce que les sans-culottes nous racontent, la « mobilité sociale » n’est pas moindre dans une monarchie). Seulement, ses positions ont toujours été conservatrices. Elle a défendu le Brexit, à la tête d’un groupe d’études dont elle n’a quitté la présidence que pour la céder au très old school Jacob Rees-Mogg. Elle s’est montrée en faveur de l’hébergement des migrants illégaux au Rwanda et a toujours défendu le durcissement des conditions d’accueil de ces chances pour le Royaume-Uni. Bref, en France, il y aurait probablement un immigré pour traiter cette femme impressionnante d’« Indienne de service ».
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Le Royaume-Uni et un bon laboratoire de ce qu'il se passe dans un pays qui n'est pas laïc et dont l'envahissement des populations musulmanes se fait sans lutter avec acharnement contre.
On pourra remplacer le mot Britannique par France sur ce genre d'article si on continue la politique que fait Macron et que feront ses successeurs s'ils sont élus après eux.
Pour voir la déchéance de notre pays, il suffira de suivre ce qu'il se passe chez nos voisins de Grande-Bretagne.