César 2024 : Gaza en invité d’honneur

C’est le temple parisien du politiquement correct. Chaque année, la cérémonie des César offre l’opportunité à une petite caste de privilégiés de faire étalage de sa vertu progressiste. On garde encore en mémoire les sketchs d’Adèle Haenel et Aïssa Maïga qui, chacune dans son genre, avaient marqué l’édition 2020. Sans atteindre ces sommets de militantisme woke, on peut dire que la cérémonie 2024 n’a pas démérité. Outre la dénonciation des violences faites aux femmes qui aura servi de fil rouge avec, en point d’orgue, le discours larmoyant de Judith Godrèche, le soutien à Gaza a été l’autre figure imposée de la soirée. Ils ont été trois à s’y essayer.

Jean pierre a écrit:Pas grand chose, ils savent faire passer des émotions de par leur métier, mais qu'en est-il réellement de leur QI ?

il suffit juste de regarder le QI de ceux qui les soutiennent et tu as tout compris 

Féerire a écrit:

Jean pierre a écrit:Pas grand chose, ils savent faire passer des émotions de par leur métier, mais qu'en est-il réellement de leur QI ?

il suffit juste de regarder le QI de ceux qui les soutiennent et tu as tout compris 

Jean-pierre a écrit:Tu es en train de me dire que des acteurs qui habitent les beaux quartiers de Paris savent parfaitement ce qu'il se passe à Gaza ?

Sois sérieux, ils n'en savent rien, certains médias de gauche leur disent ce qu'ils doivent dire et j'ai assez écouté ces gens-là à la radio pour savoir que le QI n'est pas très élevé.

Une fois encore un saltimbanque, ça distrait les gens, ce n'est pas là pour donner un avis dont on se fout.

Le pire, c'est que les croit hypocrites et qu'ils changeront d'avis demain si on leur demande de changer d'avis.

Tu vis trop dans le monde virtuel, même les documentaires sont de la propagande de nos jours.

Jean-pierre a écrit:

C’est le temple parisien du politiquement correct. Chaque année, la cérémonie des César offre l’opportunité à une petite caste de privilégiés de faire étalage de sa vertu progressiste. On garde encore en mémoire les sketchs d’Adèle Haenel et Aïssa Maïga qui, chacune dans son genre, avaient marqué l’édition 2020. Sans atteindre ces sommets de militantisme woke, on peut dire que la cérémonie 2024 n’a pas démérité. Outre la dénonciation des violences faites aux femmes qui aura servi de fil rouge avec, en point d’orgue, le discours larmoyant de Judith Godrèche, le soutien à Gaza a été l’autre figure imposée de la soirée. Ils ont été trois à s’y essayer.

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Je sais qu'il existe un sujet sur Gaza, mais là, mon propos est de montrer l'attitude des "artistes" de cinéma ou de séries qui soutiennent des terroristes.

Je ne comprends même pas qu'on puisse ne pas boycotter ces gens-là et toute personne de cette caste qui essayent de nos imposer leurs avis dont nous n'avons rien à faire.

Qu'est-ce que les saltimbanques connaissent à la géopolitique ? Qu'est-ce qu'ils connaissent vraiment des enjeux de la région ?

Pas grand chose, ils savent faire passer des émotions de par leur métier, mais qu'en est-il réellement de leur QI ?

maître Yoda a écrit:Franchement qui regarde cette cérémonie , qui est le summum de l'entre soi , de l'auto satisfaction , et de gens complétement déconnectés de la réalité , qui pleurent en smoking et en robe de grands couturiers sur la misère du monde ?

LibrePenseur a écrit:Tu dis que tu n'oublies rien sur le COVID, pourtant on ne va pas dire que tu as été harcelé par le sujet dans ta vie privée ou professionnelle !

Je suis sérieux quand je dis que dans le milieu du cinéma existent des gens très bien placés pour savoir, connaître, expliquer et donc parler sur ce sujet.