Comme chaque année depuis 1971, la grand-messe de Davos accueille 3 000 privilégiés, ces nouveaux seigneurs de l’humanité censés régenter le monde, ceux qui nous dictent notre quotidien et nous imposent leur vision du futur, toujours plus contraignant, toujours plus coercitif.
Davos, c’est le rendez-vous des élites supranationales qui méprisent les peuples. Tous les puissants de ce monde gagnent la Suisse à bord de jets privés, puis empruntent hélicoptères et limousines de luxe pour rejoindre le Temple sacré de la mondialisation.
Le CO2 ? Une fable pour le peuple qui devrait marcher à pied.
On y loue des chalets à 500 000 dollars, avec tout le confort et le luxe extravagant que n’imagine même pas le modeste travailleur soumis au rythme déprimant du métro-boulot-dodo, le triste lot de cette classe moyenne que les grands de ce monde méprisent au plus haut point.
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En fait, on passe plus de temps à se mettre de la cocaïne dans le pif et à pourchasser les prostituées qu'à faire autre chose, et je suppose que pour Macron, c'est l'État qui paye et donc, c'est nous qui payons ses frasques nocturnes.