Monsieur le Président,
Cher Monsieur Macron,
Je m’adresse à vous en ces derniers jours de l’Avent parce que je forme un vœu : qu’ils soient ceux de « l’avant ». L’avant de la renaissance, donnant tout son sens à cette fête.
Vous semblez aujourd’hui, comme le père Noël, disposé aux cadeaux (retour des visas en nombre pour les Marocains, puis pour les Algériens…), alors oui, j’espère un geste de votre part. Et comme je ne veux pas trop demander, je vais me contenter pour l’instant de la justice, et tout particulièrement celle qu’on doit aux victimes.
Certes, il n’est pas élégant de parler de soi, mais si je déroge à la règle, c’est parce que les exemples vivants sont d’un autre pouvoir, comme disait votre ami Corneille.
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Lorsqu'on voit tous les tracas administratifs, le laxisme des juges, l'impossibilité de la police de faire vraiment leur travail alors oui, il faut se faire justice soit même et encourager les gens à le faire, c'est la seule façon dans ce pays de faire bouger les choses.