Dans une tribune collective à l'initiative du Cercle Droit et débat public, des juristes jettent un regard critique sur la décision du Conseil d’État, « agissant comme le bras séculier de la CEDH », d'enjoindre la France d'assurer le retour, aux frais de l’État, d'un Ouzbek radicalisé expulsé du pays en novembre.""