Il y a tout juste un mois, le chancelier allemand Olaf Scholz, à la tête d’une coalition tripartite, « en feu tricolore », composée du SPD, Parti social-démocrate, des Verts et du Parti libéral-démocrate (FDP), donnait un sérieux tour de vis dans sa politique migratoire.
Un projet de loi et des mesures concrètes
Plusieurs mesures de lutte contre l’immigration clandestine étaient adoptées par le ministre de l’Intérieur Nancy Faeser : le délai de détention administrative avant expulsion était porté à 28 jours (comme dans l’Italie de Giorgia Meloni), l’établissement de l’identité réelle des demandeurs d’asile permettait de fouiller leurs téléphones, ordinateurs et même domiciles, les procédures d’expulsion des migrants condamnés à un an ou plus de prison et des passeurs sont accélérées, le renvoi dans le pays d’origine pouvant s’effectuer sans même un avertissement. Enfin, rapporte Le Figaro, outrepasser une interdiction d’entrée et de séjour est sanctionné par l’expulsion.
Le chancelier s’était d’ailleurs exprimé dans le Spiegel : « Nous devons massivement expulser ceux qui n’ont pas le droit de rester en Allemagne. Nous devons expulser davantage, et plus rapidement », sachant que le nombre d’illégaux en Allemagne serait de 54.000.
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Bonne nouvelle pour l'Allemagne qui montre que lorsqu'on a une volonté, on peut faire bouger les choses.
La mauvaise nouvelle, c'est que les clandestins ne vont pas se diriger vers les pays de l'est, mais venir en France où le gouvernement fait l'inverse de ce qu'il devrait être fait.