Gabriel Attal roule des mécaniques, avec des airs de matamore plus impressionnants que ceux de Tartarin de Tarascon. Que diable, il est là, le ministre de l’Éducation nationale, comme rempart de nos institutions et de la laïcité. Il l’a dit, promis, juré, craché : « je ne tolérerai aucune contestation, aucune provocation » lors des hommages rendus à Samuel Paty et à Dominique Bernard, ces professeurs égorgés par la mouvance islamique que notre faiblesse tolère en France et qui tue.
À l’Assemblée nationale, mardi matin, il n’a avoué que 179 élèves qui ont perturbé ce moment.
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Après ? Rien, il ne se passera rien, l'actualité passera, le nombre d'incidents, qui ne sont pas des incidents, mais de la rébellion, a été volontairement minimisé et on peut être sûr que le nombre de ces rébellions est beaucoup plus important, car des profs ou des chefs d'établissement auront eu peur de les faire remonter.
Attalement, il sait que nous savons qu'il ment, mais il s'en fout, demain sera un autre jour, demain il y aura autre chose et personne ne se souviendra de ça ou presque.
Quelle sera la sanction ? Aucune, bien sûr, une leçon de morale, un rappel à la loi ? Ces racailles s'en foutent, ils sont déjà islamisés et ce sont de potentiels terroristes en herbe à qui nous avons à faire.
Nous les retrouverons dans quelques années comme soldat du djihad dans quelques pays en guerre ou bien comme terroriste en France ou dans quelques pays d'Europe.