Ce 11 octobre, cinq ans après la décision unilatérale du maire de Beaucaire d’abroger les menus alternatifs aux menus contenant du porc dans le cadre scolaire et périscolaire, le Conseil d’État a confirmé le jugement rendu en première instance par le tribunal administratif de Nîmes en 2021.
Rappel des faits : le 28 juin 2018, le maire RN de la commune de Beaucaire abrogeait les repas alternatifs aux repas avec du porc proposés pour satisfaire certaines revendications religieuses. Deux associations s’étaient alors dressées contre cette mesure : la Ligue des droits de l’homme (LDH) et la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA). Celles-ci ont contesté cette décision en justice. Le tribunal administratif a jugé que le maire n’avait pas la compétence requise pour prendre une telle décision et qu'il était dans l'obligation de la faire passer en conseil municipal. Julien Sanchez a fait appel de cette décision, estimant qu’une erreur de droit avait été commise, les magistrats ne prenant pas en compte le coût engendré par ces régimes spéciaux pour la commune. L’arrêt de la cour administrative d’appel de Toulouse a confirmé, en février, le jugement rendu en première instance.
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C'est là qu'on voit jusqu'à quel point l'islamisme a gangréné la justice et le conseil d'État et le maire de Beaucaire ont raison de ne pas tenir compte de leur avis.