J’ai bien du mal en ces temps présents d’avoir une opinion sérieuse sur ce monde qui me semble s’écroulait rapidement. C’est le mien, ce monde qu’est mon pays, ma France à moi.
Qui ne songe pas avec regret, à cette France d’hier, celle du respect que l’on donnait à nos vieux, nos parents, nos « maîtres d’écoles » et autres « dispenseurs » de diverses instructions.
Jeunes, nous voulions tous changer le monde, dans la rue, lors de débats familiaux animés, et nous piquions des colères contre celui qui ne partageait pas les mêmes idées.
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Jeune, nous refaisions le monde, mais nous ne piquions pas de colère, la conversation était animée, mais pas véhémente, mais ce qui est sûr, c'est que jamais, même en faisant de la science fiction ou du film d'horreur, nous pensions voir un Grand-Remplacement se mettre en place.
Nous ne pensions pas voir des étrangers couper la tête d'un enseignant, nous ne pensions pas voir une petite Lola se faire violer et découper en morceaux par une étrangère.
Nous ne pensions pas que des personnalités politiques haïraient la France au point de vouloir la voir disparaître.
Les hommes et les femmes souhaitaient être des hommes et des femmes bien, pas des gens mal dans leur tête qui ne savent plus qui ils sont et qui se font charcuter au point d'en être finalement dingo tout le reste de leur vie.
Non décidément, nous ne pensions jamais voir ce que nous voyons en France de nos jours.