Trotskyste un jour, trotskyste toujours ?
« Le métissage, c’est une politique. Et, plus précisément, une politique de résistance »
« Il faudra tout de même qu’on sache qui est vraiment ce monsieur Plenel ». Cette phrase de François Mitterrand, cité par Pierre Péan et Philippe Cohen dans leur enquête La Face cachée du Monde, illustre tout le « mythe », qui s’est construit autour d’Edwy Plenel, construction à laquelle il a lui-même participé. Journaliste emblématique des années Mitterrand, mis sur écoute par l’Elysée dans l’affaire des Irlandais de Vincennes, Edwy Plenel est resté pendant dix ans le maître du Monde, avec Alain Minc et Jean-Marie Colombani. Bien qu’affaibli, en 2003, par les révélations de Pierre Péan et de Philippe Cohen, il a poursuivi sa carrière de redresseur de torts autoproclamé et de journaliste d’investigation aux méthodes contestées. Journaliste brillant pour les uns, revanchard militant peu soucieux de la vérité pour les autres, Edwy Plenel aura quoi qu’il en soit marqué le journalisme de ces trois dernières décennies.
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Il faudra quand même qu'on m'explique comment un type qui n'a que son BAC et on sait la valeur du BAC, même à cette époque, a pu donner des cours dans des universités et j'aimerai bien savoir quel cours il a donné.
Plenel est exactement le type de journaliste de grand chemin, il ne donne pas de l'information, il fait la guerre à tout ce qui n'est pas d'extrême gauche.
Il ne fait pas du journalisme, il fait de la propagande d'idées pour l'extrême gauche, pour l'immigration, pour que plus de clandestins arrivent dans notre pays.
Il faudrait bien qu'un jour il y ait une enquête approfondie sur le financement de ce journal et sur ses rentrées d'argent personnelles, on ne devient pas de vilain trotskiste aux revenus modestes à un responsable d'un média comme celui-là sans qu'on n'y ait question à se poser.