Depuis samedi, date à laquelle le petit garçon de deux ans et demi a échappé à la surveillance de ses grands-parents, la France tremble pour Émile, en même temps qu’elle pleure et espère envers et contre tout avec sa famille. La presse suit donc avec beaucoup d’attention les points de situation du procureur et du préfet. Le climat y est lourd, la parole, grave, les questions des journalistes sont pesées. Pourtant de la forêt de micros tendus devant le procureur ce mardi 11 juillet, fuse une voix féminine, avec cette question surréaliste : « Le passé militant d’extrême-droite des parents, est-ce qu’il est étudié ? ». Que sous-entend cette interrogation ? Quel est le rapport ? En quoi cela change-t-il la donne ?
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C'est fort dommage que vous ne donniez pas le nom de cette personne et le média pour lequel elle travaille, nous aurions pu suivre ses exploits.
Cette personne est la lie de la profession, elle n'a rien à faire là-dedans et je serais l'avocat de la famille du petit Emile, j'envisagerais une action en justice si tant est que ce soit possible.