Les médias français ironisent sur les difficultés supposées de Giorgia Meloni après seulement quelques mois passés (fin octobre 2022) à la présidence du Conseil des ministres italien. On ne mentionnera que pour mémoire les abois compulsifs de la gauche et de l'extrême gauche qui la suspectent de post-fascisme. Comme en France, les accusations cycliques, contre les partis patriotes, de fascisme (par les nervis violents et casseurs « antifas » !) et de pétainisme par Borne ou Mélenchon, à court d'arguments intelligents.
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Beaucoup vilipendent Meloni parce qu'elle n'est pas rentrée bille en tête dans le lard de la commission européenne, mais elle fait ce qu'elle peut et elle a raison d'attaquer le mal par la racine et en l'occurrence, la racine, ce sont les pays du Maghreb.