Emmanuel Macron est attendu mercredi en Chine, persuadé que Pékin reste "incontournable" face aux nombreux défis du monde, à commencer par la guerre en Ukraine que la position chinoise peut, selon Paris, faire "basculer".
En raison de sa proximité avec la Russie, "la Chine est le seul pays au monde en mesure d'avoir un impact immédiat et radical sur le conflit, dans un sens ou dans l'autre", a estimé l'Elysée avant cette visite d'Etat de trois jours du président français.
Et, côté occidental, Emmanuel Macron est, selon son entourage, l'un des rares chefs d'Etat qui "peuvent discuter six, sept heures" avec le président chinois Xi Jinping pour plaider la cause de la paix.
Alors qu'un parfum de guerre froide enveloppe la compétition entre la Chine et les Etats-Unis, les Français assument de porter une "autre voie", moins hostile que les Américains, dans la relation avec le géant asiatique.
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Il est mignon Foutriquet, mais il faudrait lui dire que de facto, la Chine soutien la Russie en achetant le gaz et le pétrole russe et je ne parles pas des trains de matériels qui doivent partir de Chine vers l'Ouest de la Russie et que plus personne ne peut contrôler.
Pour Antoine Bondaz, de la Fondation pour la recherche stratégique, ce n'est pas en venant "gentiment dire qu'il ne faut pas (...) qu'on va empêcher la Chine de soutenir militairement la Russie". "C'est à travers des mises en garde" assorties, dans les discussions privées, d'une menace de "sanctions", affirme-t-il à l'AFP.
Je ne sais pas qui c'est ce Bondaz, mais il a dû faire une école de diplomatie aux U.S.A., faire des menace à la première puissance économique mondiale, ce n'est jamais une bonne idée.
Il faudrait aussi qu'ils comprennent que la Russie et la Chine ne sont pas seul, il y a le B.R.I.C.S. il y a l'Afrique, il y a le moyen orient et que tout ça, ça fait pas mal de puissance et pas mal de sous.