(je ne devrais pas la raconter un Vendredi St, mais bon, la vie est faite pour la vivre telle que)
En décembre un jeune décède dans les Hautes Alpes, et là, l'enterrement est fait à la cathédrale.. Tout le monde très choqué car mort en montagne jeune.. (bref passons).
Dans la cathédrale pleine à craquer son frère, trouve que le curé (dont pas mal ce sont pleins dit des choses qu'il n'avait pas à dire à son sens), mais bon sous le choc on peu excuser le frère. Sauf que la pression monte et qu'il va à l'autel, dire de tout au curé et entre autre que la cathédrale est gelée, que c'est inadmissible que depuis qu'on le réclame il n'y ai toujours pas de chauffage etc.. il lui fait un vrai scandale, avec bien sûr un silence de mort autour... et là sa mère intervient pour le calmer, le curé se met sur le coup à jurer et dire "mais bon dieu, on s'en prend toujours à moi, mais c'est pas de ma faute, et j'en est marre etc..." là les gens s'y mettent, on appelent les pompiers pour le frère du défunt, ils arrivent, entre temps toute la cathédrale en effervécence, la mère du défunt se casse la cheville, et là, certains en remettent une couche en disant que les marchent ont fait déjà plusieurs bléssés et que le curé n'a rien fait pour que ça s'arrange. Bref les pompiers ne savaient plus (autour du cercueil) ce qu'il fallait faire : calmer et emmener le jeune, emmener la mère aux urgences, attendre que le curé se calme, car je vous dit pas le chapelet qu'il a dit... et moi j'étais avec des gens très calment et très pieux, mais dans le tout, la colègue dit à son mari "enfin, quand même, le mort attend", et son mari qui lui répond "laisse, lui, ben il a tout son temps maintenant", alors là, on a pris un fou rire, et obligé de sortir de la cathédrale (pourtant il avait raison, le mort avait tout son temps), je voulais vous la raconter car on en a rit, mais rit en famille pendant des heures, voir des jours. A peine on se croisait dans le couloir déjà on rigolait de notre connerie.
Comme quoi, parfois il vaut mieux aller à un enterrement, qu'un mariage !
Il ne manquait en fait que du monde pour rire.
En décembre un jeune décède dans les Hautes Alpes, et là, l'enterrement est fait à la cathédrale.. Tout le monde très choqué car mort en montagne jeune.. (bref passons).
Dans la cathédrale pleine à craquer son frère, trouve que le curé (dont pas mal ce sont pleins dit des choses qu'il n'avait pas à dire à son sens), mais bon sous le choc on peu excuser le frère. Sauf que la pression monte et qu'il va à l'autel, dire de tout au curé et entre autre que la cathédrale est gelée, que c'est inadmissible que depuis qu'on le réclame il n'y ai toujours pas de chauffage etc.. il lui fait un vrai scandale, avec bien sûr un silence de mort autour... et là sa mère intervient pour le calmer, le curé se met sur le coup à jurer et dire "mais bon dieu, on s'en prend toujours à moi, mais c'est pas de ma faute, et j'en est marre etc..." là les gens s'y mettent, on appelent les pompiers pour le frère du défunt, ils arrivent, entre temps toute la cathédrale en effervécence, la mère du défunt se casse la cheville, et là, certains en remettent une couche en disant que les marchent ont fait déjà plusieurs bléssés et que le curé n'a rien fait pour que ça s'arrange. Bref les pompiers ne savaient plus (autour du cercueil) ce qu'il fallait faire : calmer et emmener le jeune, emmener la mère aux urgences, attendre que le curé se calme, car je vous dit pas le chapelet qu'il a dit... et moi j'étais avec des gens très calment et très pieux, mais dans le tout, la colègue dit à son mari "enfin, quand même, le mort attend", et son mari qui lui répond "laisse, lui, ben il a tout son temps maintenant", alors là, on a pris un fou rire, et obligé de sortir de la cathédrale (pourtant il avait raison, le mort avait tout son temps), je voulais vous la raconter car on en a rit, mais rit en famille pendant des heures, voir des jours. A peine on se croisait dans le couloir déjà on rigolait de notre connerie.
Comme quoi, parfois il vaut mieux aller à un enterrement, qu'un mariage !
Il ne manquait en fait que du monde pour rire.