Pelayo a écrit:26€ 50 qu'elle dit la sécu
le but est que les gens crèvent faute de médecins
ça ça fait faire des économies !!
On va reprendre un peu avec ça...
Pour obtenir un prix plus élevé (30 euros pour les généralistes), les praticiens devaient souscrire à un "contrat d'engagement territorial" avec des contreparties au choix: voir davantage de patients, participer aux gardes, exercer dans un désert médical, consulter le samedi...
Selon le ministère, plus de 40% des médecins cochent déjà ces cases et auraient pu ainsi gagner en moyenne 20.000 euros de plus par an sans travailler davantage. "On demandait un effort aux autres parce qu'il faut répondre aux besoins de santé des Français", justifie l'entourage du ministre, pour qui "la revalorisation sans condition n'était pas une option", surtout au vu des "sommes colossales" en jeu.
On va perdre du temps
"On passe à côté d'une occasion d'améliorer la prise en charge de nos concitoyens", a pour sa part estimé M. Braun, jugeant que "les syndicats de médecins ne sont pas responsables".
Le refus s'est toutefois exprimé "à l'unanimité" lors du vote interne chez les généralistes de MG France, a souligné leur présidente Agnès Gianotti. La question du tarif a été "marginale" dans l'issue du scrutin, a-t-elle assuré, expliquant que ses confrères souffrent surtout d'un "manque de reconnaissance".
Une situation qui n'est pas près de s'arranger, car faute d'accord les nouveaux tarifs seront fixés par un "arbitre". En l'occurrence, une haute fonctionnaire désignée par l'exécutif, qui aura trois mois pour consulter tous les protagonistes et présenter un texte qui, une fois validé par le ministre, s'imposera à tous jusqu'à la prochaine négociation. "On va perdre du temps", a déploré M. Braun.
L'enveloppe budgétaire devrait au passage être revue à la baisse: l'entourage du ministre ne cache pas qu'il n'a "pas envie de donner la même chose" que si les syndicats avaient signé. Au risque de raviver la colère des médecins, qui ont déjà manifesté deux fois depuis le début de l'année.
Certains syndicats agitent désormais la menace du déconventionnement, qui permet aux médecins de fixer librement leurs tarifs mais sans aucun remboursement de leurs patients par la Sécu. Une pratique qui concerne actuellement "un peu moins de 1%" des praticiens selon le ministère.
Cela "pénaliserait encore plus les Français en créant une médecine à deux vitesses, avec seuls les riches qui pourraient se soigner", a mis en garde M. Braun, qui cherche toujours un remède pour les quelque 6 millions de Français actuellement sans médecin traitant.
En particulier pour les 600.000 malades chroniques auxquels Emmanuel Macron a promis une solution "avant la fin de l'année". Le ministre de la Santé, qui avait déjà annoncé que ces personnes seraient "contactées" avant l'été, a précisé qu'il ferait des annonces sur ce sujet "la semaine prochaine".
Je me demande combien il en faudra des comme-ça pour que le peuple s'énerve vraiment et aille chercher tous ces politicards pour les foutre dehors ?!
Ce "Braun" est vraiment le pire connard que j'ai vu, le cliché parfait du politicard qui a la place sans avoir la moindre compétence.
Le pantin parfais avec qui il n'est pas possible d'arriver à quoi que ce soit.
On ajoute à cela un article peu clair, objectif réussi, les gens n'y comprennent rien, délaissent le sujet et les problèmes s'accentuent.
L'État français dirigé par des millionnaires, n'hésite pas à augmenter ses membres quand c'est nécessaire, par contre, la soumission des médecins doit être maintenue.
Les médecins français n'ont pas de couilles, depuis le COVID, ça n'aura échappé à personne.
Donc tant pis pour eux.