Quel avenir politique pour les auteurs de violences sexistes ou sexuelles ? Alors qu'Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales, a fait un retour controversé à l'Assemblée nationale cette semaine, la question plonge dans l'embarras l'ensemble des partis politiques.
Damien Abad (Renaissance), accusé de viols, Jérôme Peyrat (Renaissance) et Hervé Juvin (RN) condamnés pour violences conjugales, Éric Coquerel (LFI) objet d'une enquête pour "gestes déplacés", Nicolas Hulot, visé par deux plaintes pour viol pour des faits prescrits et plusieurs témoignages d'agression sexuelle...: tous les camps politiques sont concernés.
Les réponses apportées par les partis divergent cependant. Le PS par exemple n'investit plus des hommes accusés de faits de violences, le RN a exclu de son groupe l'eurodéputé Hervé Juvin.
Mais LFI a gardé dans le sien Éric Coquerel et Renaissance Damien Abad car il n'a pas été condamné par la justice.
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Je ne vois pas en quoi ça les embarrasse, inéligible toute personnes qui n'a pas un casier judiciaire vierge.
Si un élu est condamné en cour de mandat, il doit immédiatement quitter ses fonctions.