Un député LFI demande au gouvernement de "dénazifier l'espace public"

L'insoumis Hadrien Clouet a écrit une question au ministère de la Culture dans le Journal officiel, concernant "l'urgence de débaptiser les rues rendant hommage à des nazis et des collaborateurs français".
"Dénazification de l'espace public". C'est l'intitulé évocateur d'une question posée par le député insoumis de Haute-Garonne, Hadrien Clouet, au ministère de la Culture et publiée dans le Journal officiel le 29 novembre dernier. L'élu souhaite alerter la ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, sur "l'urgence de débaptiser les rues rendant hommage à des nazis et des collaborateurs français".
Le député cite de "nombreux" patronymes ornant les rues de l'hexagone, comme les noms d'Alexis Carrel, "hitlérien (...) qui appelait à l'extermination par le gaz des populations jugées 'inférieures'" à Perpignan, Avignon ou Clermont-Ferrand, ou celui de Paul Morand, "écrivain antisémite acharné (...) que l'on retrouve dans les rues de Niort, Limoges ou Le-Péage-de-Roussillon".

Des "intitulés infâmes qui abîment le pays"
"Aujourd'hui encore, des partisans du régime de Vichy, adeptes de thèses et de théories nazies, eugénistes, racialistes et antisémites, donnent leur nom à des espaces publics", déplore l'insoumis. "Les enfants grandissent avec leur patronyme sur une plaque de rue, les expéditeurs de courrier rappellent leur souvenir sous forme d'adresse postale, les touristes s'y réfèrent pour s'orienter", poursuit-il.
Et de conclure : "Bref, leur existence demeure, non pas sous une force proscrite dédiée à l'éducation civique, mais sous une forme positive apparentée à un hommage continu et discret".

Selon lui, ces situations n'existent pas du fait des "équipes municipales", car elles ne sont pas responsables de "décisions vieilles de plusieurs décennies" et ne "disposent pas des moyens financiers autorisant une investigation historique des intitulés urbains".


Il formule deux questions à l'adresse de Rima Abdul-Malak : "Compte-t-elle dresser un inventaire de nazis et de collaborateurs reconnus par la Nation dans ses rues, afin d'informer les communes concernées ? Envisage-t-elle de fournir aux équipes municipales un encouragement et un soutien technique dans le but de rebaptiser ces intitulés infâmes qui abîment le pays ?" La ministre dispose désormais de deux mois pour répondre au député.

qu'il commence par dénazifier son parti de dégénérés  ça sera un bon début !

N'importe quoi pour faire parler de lui et de son mouvement d'extrême gauche.

Les choses se feront naturellement avec le temps tout comme les rue Lenine et autres finiront dans les limbes de l'histoire.

Féerire a écrit:L'insoumis Hadrien Clouet a écrit une question au ministère de la Culture dans le Journal officiel, concernant "l'urgence de débaptiser les rues rendant hommage à des nazis et des collaborateurs français".
"Dénazification de l'espace public". C'est l'intitulé évocateur d'une question posée par le député insoumis de Haute-Garonne, Hadrien Clouet, au ministère de la Culture et publiée dans le Journal officiel le 29 novembre dernier. L'élu souhaite alerter la ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, sur "l'urgence de débaptiser les rues rendant hommage à des nazis et des collaborateurs français".
Le député cite de "nombreux" patronymes ornant les rues de l'hexagone, comme les noms d'Alexis Carrel, "hitlérien (...) qui appelait à l'extermination par le gaz des populations jugées 'inférieures'" à Perpignan, Avignon ou Clermont-Ferrand, ou celui de Paul Morand, "écrivain antisémite acharné (...) que l'on retrouve dans les rues de Niort, Limoges ou Le-Péage-de-Roussillon".

Des "intitulés infâmes qui abîment le pays"
"Aujourd'hui encore, des partisans du régime de Vichy, adeptes de thèses et de théories nazies, eugénistes, racialistes et antisémites, donnent leur nom à des espaces publics", déplore l'insoumis. "Les enfants grandissent avec leur patronyme sur une plaque de rue, les expéditeurs de courrier rappellent leur souvenir sous forme d'adresse postale, les touristes s'y réfèrent pour s'orienter", poursuit-il.
Et de conclure : "Bref, leur existence demeure, non pas sous une force proscrite dédiée à l'éducation civique, mais sous une forme positive apparentée à un hommage continu et discret".

Selon lui, ces situations n'existent pas du fait des "équipes municipales", car elles ne sont pas responsables de "décisions vieilles de plusieurs décennies" et ne "disposent pas des moyens financiers autorisant une investigation historique des intitulés urbains".


Il formule deux questions à l'adresse de Rima Abdul-Malak : "Compte-t-elle dresser un inventaire de nazis et de collaborateurs reconnus par la Nation dans ses rues, afin d'informer les communes concernées ? Envisage-t-elle de fournir aux équipes municipales un encouragement et un soutien technique dans le but de rebaptiser ces intitulés infâmes qui abîment le pays ?" La ministre dispose désormais de deux mois pour répondre au député.

qu'il commence par dénazifier son parti de dégénérés  ça sera un bon début !

alors qu ils changent les noms de rues etc qui portent le nom de COMMUNISTES qui etaient les premiers collabos des nazis !!
lui rappeler ce que faisait MITTERRAND pendant la guerre , etc, etc
si on avait des coui llus qui repondent a ca , ca serait vite regler !!

Ce que je ne comprends pas, c'est le mot urgence, franchement, au vu de l'état de notre pays, de la conjoncture mondiale de la m*****e dans laquelle nous à mis Macron, il n'y a rien de plus urgent que de débaptiser des rues.

On voit bien que ces types ne sont pas dans le raisonnable et dans l'amélioration de la politique en France, ils sont là pour essayer de foutre la m****e partout où ils pourront et rien d'autre.

J'espère qu'on " désoumettra " un jour ce mouvement hautement toxique et que les membres des insoumis seront dispersés le plus loin possible

Dans peu de temps, ce parti ne tient que parce que Mélenchon bouge encore un peu, d'ici quelques temps il n'aura plus la force et L.F.I. deviendra un petit parti d'extrême gauche comme la N.P.A. ou un truc du genre.

On "dénazifie " les noms de rue  
puis  on "dénazifie"   les  journaux  puis  tous les médias   puis  l'espace public
puis on  embastille  les opposants  et on se fait construire une immense statue à la gloire de ..
on connaît l'histoire  !!    
ça vaut pour Les LFI et Macron

Jean-pierre a écrit:Dans peu de temps, ce parti ne tient que parce que Mélenchon bouge encore un peu, d'ici quelques temps il n'aura plus la force et L.F.I. deviendra un petit parti d'extrême gauche comme la N.P.A. ou un truc du genre.

Il y aura toujours une gauche  dure  
ça rassemble   les mécontents   les envieux   les paresseux,  les idéalistes , les qui se croient  le Messie , les   Rousseauphiles  ( l'Homme naît bon c'est la société  qui le corrompt *    ) les ratés
 et ça il y en a toujours

* l'Homme naît bon !    suffit de voir les bambins dans une crèche -  ça n'a pas  2 ans que  ça commence à piquer le jouet de l'autre, à le griffer   et  à faire des caprices !
 la Jungle !   la Société    limite les dégâts même s'il reste bcp de boulot  

Oui, bien sûr, il y aura toujours quelques marginaux pour défendre cette idéologie du passé et mortifère, mais elle n'aura pas l'importance qu'à L.F.I. de nos jours, lorsque Mélenchon ne sera plus en mesure de tenir les rênes, ce parti ira dans l'oublie.

Si Roussel reste aux commandes du P.C., je pense même que les communistes feront plus de voix que L.F.I. dans les prochaines présidentielles et législatives.

Jean-pierre a écrit: il y aura toujours quelques marginaux pour défendre cette idéologie du passé

Du passé ? des marginaux ??
le wokisme est l'enfant désespéré du marxisme disait une historienne l'autre jour
et lui il est bien vivant !!
de même que le rouge des pastèques écolos

Jean-pierre a écrit:N'importe quoi pour faire parler de lui et de son mouvement d'extrême gauche.

Les choses se feront naturellement avec le temps tout comme les rue Lenine et autres finiront dans les limbes de l'histoire.

Dans une société moderne ou dans une entreprise...

Il y a des gens qui pensent en permanence et de l'autre des gens qui se foutent de tout du moment que ça ne les touche pas personnellement.

Le problème c'est que ceux qui pensent n'ont pas besoin d'être nombreux pour atteindre leurs objectifs.

Là, il y a des gens qui sont dérangés par tout et n'importe quoi.

C'est le manque de réaction et d'intérêt venant des autres qui est le réel problème de tout ça.

Alors tant que les "mous" ne réagiront pas, il faudra aller dans le sens des penseurs qu'ils aient raison ou non.

Les mous ne réagissent que si ça les touche personnellement, ça risque d'être le cas en 2023 où tous les indicateurs montrent que l'inflation va être encore pire que cette année et l'an passé.

Lorsque les gens vont s'apercevoir qu'ils n'auront pas les moyens d'aller en vacances, ça risque de gronder un peu.