L'OIP a publié ce mercredi un rapport sur l'accès aux soins spécialisés en prison. Il pointe les grandes difficultés pour les détenus français d'accéder aux soins spécifiques - hors médecine générale.
Retards de diagnostics, manque de personnel, examens menottés sous les yeux d'un surveillant...
Dans un rapport paru mercredi 6 juillet, l'Observatoire international des prisons (OIP) dénonce l'accès très compliqué aux soins spécialisés, hors médecine générale, pour les détenus en France.
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Et puis quoi encore ? Pour les gens honnêtes, c'est difficile d'avoir accès à certains spécialistes, il faudrait que la racaille ait la priorité ?
S'ils veulent de l'intimité dans les consultations et ne pas avoir de surveillant dans la pièce, c'est assez simple, ils n'ont qu'à pas se retrouver en prison comme ça, ils ne seront pas humiliés.
La racaille qui est en prison, ce sont des gens qui ont fait des victimes, qui ont enfreint les lois, ils n'ont aucun droit qu'ils soient encore bienheureux qu'ils aient des soins gratuits, parce que si ce n'était que de moi, je leur ferai payer les consultations et les soins.