Samedi, des manifestants ont envahi la place de l’Indépendance, à Bamako, célébrant par leurs cris et leurs banderoles le départ de la France. L’AFP précise qu'il n'y avait que quelques centaines de personnes. Mais quand on songe aux 58 soldats français tombés sur le sol malien, ce spectacle donne le cœur gros. Ils étaient au Mali pour lutter contre les djihadistes. Des djihadistes qui sévissent aussi chez nous. Les vociférations à Bamako font d’ailleurs écho aux klaxons de réjouissance, à Saint-Étienne du Rouvray, le soir de l’assassinat du père Hamel. Cela a eu lieu il y a six ans, mais on ne l’apprend que maintenant. C’est la préfète de la région Normandie de l’époque, Nicole Klein, qui l’a rapporté à la barre, au procès de l’attentat. « Je me souviens aussi des klaxons de réjouissance le soir de l’attentat à Saint-Étienne. Suffisamment limités pour que certains disent que ça n’a pas existé. Mais, très minoritaire, c’est une réalité. » Est-ce pour le nombre « limité » de ces klaxons que l’on a choisi, à l’époque, de les passer sous silence, ou parce qu’il est plus facile et moins explosif d’en parler aujourd’hui quand l’émotion s’est dissipée ?
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C'est quand même rageant de voir que la France ne réagit pas aux provocations incessantes de pays comme le Mali ou l'Algérie en usant des moyens de rétorsions financier qu'elle dispose.
Si nous n'avons plus d'intérêts financiers dans ces pays, qu'attendons-nous pour les envoyer sur les roses et pour fermer les ambassades dans ces pays ?
Qu'attendons-nous pour geler les avoirs que leurs ressortissants pourraient avoir en France ?