Une femme qui travaillait comme enseignante remplaçante a posté une vidéo sur les médias sociaux alléguant qu’elle a été renvoyée par les responsables de l’école parce qu’elle ne s’est pas « identifiée à un élève qui s’identifie à un chat » après avoir refusé de miauler à l’enfant en classe.
« Ok, ok. Je dois râler pendant une minute », dit l’enseignante dans la courte vidéo. Juste quand je pensais que l’école ne pouvait pas être plus bizarre, elle l’a été aujourd’hui.
Je suis suppléante, et la chose la plus importante que nous devons faire est de faire l’appel pour que l’école soit payée. Donc, je regarde le plan de table en montant et descendant les rangées et en marquant qui est là et qui ne l’est pas », poursuit-elle, (son pseudonyme est @crazynamebridgetmichael). « J’arrive au troisième rang et j’entends ‘miaou’ ! Heu, excusez-moi ? Excusez-moi ?
Je commence à regarder par terre, la quatrième rangée – tout est bon. Je passe à la cinquième rangée – tout le monde est là. Puis j’entends encore ‘miaou’ ! Je me dis : ‘Ok, qu’est-ce que c’est que ça ? Qui fait ça ? Et cette fille au tout premier rang me dit : ‘Tu dois lui miauler en retour ; il s’identifie à un chat’. Tu te moques de moi, lui dis-je ? »
« Et j’ai dit : Y a-t-il une litière quelque part ? C’était moi sarcastique, et je n’aurais probablement pas dû dire ça », poursuit l’éducatrice dans le clip.
« L’élève se lève et sort en trombe de la classe, et je suis genre ‘Pfff!’.
Bien sûr, toute la classe est en train de rire.
Je me dis : ‘Oh, pas de problème’. Je vais au bureau des professeurs – et là, tenez-vous bien, ils m’ont dit :
‘Nous n’avons plus besoin de tes services, si tu ne peux pas t’identifier à tous les enfants de la classe’.
Ne demandez-pas pourquoi ils ont du mal à trouver des remplaçants ! » s’exclame l’enseignante sur la vidéo.
« J’ai dit à la dame au bureau : ‘Je ne savais pas que les chats étaient considérés comme des personnes ; je pensais qu’ils étaient des animaux de compagnie’.
Voilà une autre école retirée de ma liste » ou travailler, conclut l’enseignante.
Et elle a titré sa vidéo : « une journée typique de suppléance ! Ça ne s’invente pas… ».
Dreuz n’a pas pu vérifier de manière indépendant la réalité de ce récit. Mais franchement, dans la folie progressiste ambiante, je peux accepter son récit comme authentique.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
On voit mal pourquoi cette dame aurait inventé cette histoire d'autant que je suppose qu'elle cite l'établissement où ça c'est passé.
Là on rejoint ce que disait Zemmour, l'école c'est pour enseigner aux enfants, pas pour subir leur lubie ou pour leur bien être.