Le secrétaire d'Etat chargé des Affaires étrangères a assuré dimanche sur Europe 1 que l'extension du pass sanitaire était "la manière la plus proportionnée possible" de répondre à la quatrième vague.
Alors que la mobilisation contre l'extension du pass sanitaire dès lundi 9 août et la vaccination obligatoire pour les soignants a de nouveau progressé en France samedi, pour le quatrième week-end consécutif, le secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes a défendu dimanche matin sur l'antenne d'Europe 1 ce dispositif. "Ce qui nous pourrit la vie, ce n'est pas le pass sanitaire, c'est le virus", a-t-il martelé.
"Le pass sanitaire n'est agréable pour personne, ni pour ceux qui l'utilisent, ni pour ceux qui le contrôlent", a admis le ministre. Mais "c'est un moment nécessaire pour éviter des mesures plus dures de fermetures complètes qui seraient une catastrophe économique et sociale", a-t-il ajouté, tout en espérant "qu'on aura besoin le moins longtemps possible de ce pass".
Dans un entretien au Parisien, le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé plusieurs assouplissements du pass sanitaire, notamment sur la durée de validité des tests négatifs pour les non-vaccinés, étendue de 48 à 72 heures. Clément Beaune assure qu'il ne s'agit en aucun cas d'"une réponse aux manifestations", mais de "pragmatisme".
Le secrétaire d'Etat estime par ailleurs qu'"il faut entendre les messages" des manifestants. "On cherche à ne pas mettre de contraintes inutiles, mais à répondre à cette vague de la manière la plus proportionnée possible", a-t-il assuré.
On dirait que Macron sort de nouveaux pions, je ne savais même pas qu'il existait celui-là.
Il semblerait que ceux qui sont en première ligne commence à s'essouffler et que plus personne ne les écoute et plus personne n'ait confiance en eux.
Pour sûr que pour Môssieur le secrétaire d'état n'est pas une contrainte, je doute fort qu'il présente quoi que ce soit lors de ses déplacements et je ne pense pas qu'on lui demande quoi que ce soit lorsqu'il va faire ripaille avec ses petits copains avec les impôts des Français.