écologie.

Pourquoi une journée "En ville, sans ma voiture !" ?

Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de vie : pollution de l'air, nuisances sonores, encombrements, etc. Et pourtant, le parc automobile croît...


C'est pourquoi la journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif

global de favoriser la prise de conscience collective quant à la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. De fait, il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.

Ça c'est un très beau discourt d'homme politique qui n'a pas 6 bouteilles d'eau 4 litres de lait et un paquet de couche culotte à ramener à la maison, en plus des courses pour la semaine pour une famille de 4 personnes.

Parce que si c'est améliorer la qualitée de la vie que de se trimbaler avec toute ces courses dans des transports en commun malodorant vétuste et dont les chauffeurs vous prennent pour des bovins c'est que j'ai du loupé beaucoup d'épisode après la guerre nucléaire.

Une fois de plus les politiques n'ont strictement rien compris aux réalités de la vie de tous les jours de leurs concitoyens et administrés.

Au lieu justement de rendre les rue plus fluides de construire plus de parking souterrain ou en immeuble bref de facilité la circulation afin que les véhicule polluent moins dans les embouteillages ou en faisant 4 fois le tour du pâté de maison pour trouver un place, il font ce genre de journée à la c.. qui ne sert à rien d'autre qu'a em....... un peu plus ceux qui travaillent.

Travaillez sur la fluiditée de la circulation et sur la pollution des véhicules messieurs les col blanc car une voiture, au moins une est indispensable à ce jours et que ce n'est pas avec ce genre de initiative imbécile que vous y changerez quelque chose.

Essayez 6 bouteille d'eau 4 litre de lait et un paquet de couche culotte pour aller de la première grande surface à chez vous.

Du nouveau en Belgique.

C'est aujourd'hui le deuxième anniversaire de l'entrée en vigueur du protocole de Kyoto. Et des statiques plutôt encourageantes ont été rendues publiques. En 2005 quelque 143,8 millions de tonnes de CO2 ont été rejetées dans l'atmosphère en Belgique, soit 97,9% des émissions de 1990, année de référence du protocole de Tokyo. Ces chiffres, calculés par la Commission nationale du climat, ont été transmis cette semaine aux autorités européennes par le ministre de l'Environnement Bruno Tobback.

En 1993 et en 2002, les émissions de CO2 étaient sous le niveau de 1990 mais cela était essentiellement dû à la faiblesse de l'économie qui s'était accompagné de nombreuses fermetures d'entreprises. En 2005, la Belgique était en croissance. On peut donc parler pour la première fois d'un changement de tendance, dit M. Tobback.

C'est surtout l'industrie, l'agriculture et le traitement des déchets qui ont réalisé des efforts. Le chauffage, et surtout le transport, restent de grands pollueurs. Malgré ces chiffres encourageants, la Belgique reste néanmoins en-deçà du schéma idéal prôné par le protocole de Kyoto.

Au moins ça fait plaisir de voir que la Belgique fait parti des bons élèves de la planète cependant le protocole de Kyoto est une approche et l'on est loin encore d'une pollution réduite au minimum.