Fascinant. Ce qui se joue sur nos écrans est absolument jouissif et grisant. Les GAFAM apparaissent au grand jour tels qu’ils sont : les entiers garants de notre liberté d’expression numérique, non-libre de fait.
Deux mondes viennent de rentrer en collision. La crise sanitaire mondiale, nous obligeant à plus “conf’call”, plus de “restez chez vous”, plus de “conférence numérique”, plus de “Pornhub” et de “Click’n Collect”… Et la crise numérique, nous obligeant à nous plier à une pensée unique, celle des propriétaires des réseaux sociaux.
Une poignée d’entrepreneurs, qui font la pluie et le beau temps sur l’opinion mondiale, décident, en appuyant sur un seul bouton, que le président actuel de la plus grande puissance mondiale n’a plus le droit de s’exprimer sur leurs plateformes. Une poignée de gars vient de vous dire que votre dernier rempart pour survivre à la crise sanitaire vient de disparaître.
Après la censure de Trump sur Twitter, Facebook, Insta et consorts, nous apprenons “par voie de presse sur nos supports numériques” que WhatsApp va changer ses conditions générales et que le RS “Parler” a été totalement suspendu de tout le Net. Le continent numérique entier est verrouillé. C’est fini. Et les continents géographiques sont paralysés, figés par le Coronavirus. Le temps vient de s’arrêter.
La panique est “palpable” ou tout au plus “lisible”, le monde entier semble tétanisé devant ce qui apparaît comme un séisme, pourtant prévisible. Tout le monde cherche un canal parallèle “plus sûr” mais le principe restera toujours le même. Ne déplaçons-nous pas le problème ?
La collision de ces deux mondes s’est produite vendredi soir et il apparaît clair comme de l’eau de roche que la seule solution serait de s’incarner à nouveau. S’incarner, se voir, appeler les autres sur une ligne téléphonique simple pour se donner rendez-vous chez quelqu’un, dans un bar, dans un restaurant. Pour se voir.
Se voir, se toucher, discuter, déjeuner, boire, mais surtout trinquer, rire ou pleurer de ce qui arrive, présenter les uns aux autres, se taper dans le dos : tout ce qui n’est plus sanitaire, en sommes.
La collision de ces deux mondes s’est produite vendredi soir et je suis encore là à vous parler via un article numérique sur un canal d’information indépendant…
Il faut couper.
Et peut-être que demain, la prochaine rébellion d’un peuple ne se vivra pas pixellisée par écrans interposés mais dans la vie réelle.
Stop.
Je coupe. Je vais voir les copains.
Là on voit quand même que ça va loin parce qu'interdire un réseau social comme "parler" il fallait quand même oser le faire.
Là, j'avoue que j'ai quand même très peur pour la démocratie et la liberté de parole, nous venons de voir avec les fraudes des Démocrates et la réaction des réseaux sociaux que nous ne vivons pas en démocratie, mais que tout n'est que manipulation et surveillance de ce qui n'est pas la pensée unique distillé par les G.A.F.A.M.
Ils viennent de se révéler comme étant les maîtres du monde occidental et à la place des Démocrates, je comprendrai la leçon, on fait ce qu'on veut et si vous nous em.....r, on coupe vos comptes on vous empêche de vous exprimer.
On vient me dire après que de Deep State (l'état profond) n'existe pas ! Comment explique alors que plusieurs réseaux sociaux normalement concurrent ferme le compte du président de la plus grande puissance mondiale et avec la bénédiction des politiques ?
Pire qui a donné l'ordre de bloquer "parler" le réseau social russe uniquement pour empêcher Trump et ses partisans de communiquer ?
Là, on voit bien qu'il y a conspiration de l'état profond pour éradiquer toutes idées et toutes pensées qui ne va pas dans leur sens et que nous assistons en ce moment même à la plus grande manipulation de l'opinion du peuple de tous les temps.
J'ose espérer qu'un mouvement de révolte contre ces gens-là se lèvera et que les partisans d'un autre monde que celui qu'on veut nous imposer va se former et que les moyens technologiques vont permettre de contourner et d'annihiler ceux de maintenant qui se croient tout permis parce qu'ils sont en position de force.
En passant, ça serait bien que Poutine et la Russie proteste contre la fermeture de Parler voir qu'ils interdisent Facebook et Tweeter sur le sol russe.