"l'imaginaire !"

Jean Pierre  écrit:
Il pense qu'il le faut beaucoup de temps et de réflexion pour écrire un texte alors qu'un dessins ça se fait tout seul et ça se poste en deux clics

Le texte est rumination de mots, de citations qui te viens à l'esprit...
Exemple;
La citation Julius Robert Oppenheimer qui déclarait :
"J’aimerai bien connaitre l'intelligence qui ne descend pas d’une longue ligné de prédateurs !"

Fabuleuse citation qui ouvre la porte du neurone de l'imagination.
Faire un texte sur ce genre de citation peut aller de deux heures à deux ans de réflexion.

L'inspiration pour réaliser un dessin est souvent une observation visuelle .
Tu te promènes dans sous bois comme fait l'ami Jean Pierre et tu remarques un curieux tronc d'arbre à la forme étrangement dérangeante .

Subitement, une idée te viens à l'esprit : le tronc ressemble à un cerveau
avec ses sillons...
Et vlan , ton esprit va explorer dans ton panel mémoire toutes sortes de conceptions de formes.

L’architecture est en gestation de ton futur inédit dessin.
L'idée d'un dessin :
C'est environ 15 à 20 minutes, ensuite la phase de réalisation environ 1h30 h.

La fabrication d'un dessin  vient souvent d'une idée flash.
La conception d'un texte se fait  par rumination des mots , des phrases , des citations...(entendus ailleurs )

bonjour chez vous !

Oscar a écrit:L'inspiration pour réaliser un dessin est souvent une observation visuelle .
Tu te promènes dans sous bois comme fait l'ami Jean Pierre et tu remarques un curieux tronc d'arbre à la forme étrangement dérangeante .

Tout comme la photo, tu peux passer dix fois devant un vieux tronc d'arbre, si il n'y a pas la bonne lumière et que tu n'es pas dans le bon angle, ça ne t'inspirera rien du tout et plus un jour où tu passes plus tôt ou plus tard ou qu'il y a une lumière d'hiver ou d'été et là il y a une superbe photo à faire.

Bien sur pour les professionnels, il y a des mises au point, des filtres, etc ... ensuite les photos peuvent être retouchées mais moi je les préfère brute de décoffrage, je les fais souvent avec mon smartphone maintenant et je ne les retouche pas, j'essaye simplement de figer l'instant de ce que j'ai ressenti en voyant un paysage, une racine d'arbre, etc ....

Bonjour Jean Pierre !

Avant de faire du dessin , je faisais de la photo avec un réflex, j'ai photographié un peu de tout.
Dans la photo ce que j'aime le plus est l'instantané d'une photo insolite .


Mais dans certaine situation la prise de vue une photo  peut être dangereuse prendre un camps de rooms , des grévistes en Guadeloupe...

Par contre on peut reproduire une scène à risque en faisant un dessin .

La photo c'est plus mon domaine, il y a des centaines de photos, pour ne pas dire plus que j'ai faite de situations insolites mais que je n'ai jamais publier et qui dorment dans l'ordi et dans une sauvegarde.

Parfois c'est amusant parce qu'avec le camion on voit les gens au premier étage en ville alors qu'ils pensent ne pas être vu de la rue j'ai vu des situations amusantes mais que je n'ai pas pris en photo.

J’ai imaginé la citation de cette fameuse intelligence  de Robert Oppenheimer, physicien qui écrivait:
 « J’aimerais bien connaître l’intelligence suprême qui ne descends
pas d’une longue lignée de prédateurs ! »

"Une singularité" intelligence pilote des mondes parallèle identiques ?...  

Douze planètes terre  rigoureusement identique, un seul détail important les douze planète terre
ne sont pas synchronisé entre elles ...
Chacune vie  dans un espace temps différent les mêmes événements.

"La singularité"  avait fait une remise à zéro par l’explosion phénoménale du big bang,
elle avait  en même temps saupoudré parmi les particules élémentaires, une embryonnaire  bactérie procaryote de vie dans de nombreuses galaxies.  
https://youtu.be/IrC8gLzSkTk
Première interrogation :
« Notre planète bleue est-elle la première station d’accueil de la vie embryonnaire  des diversité des espèces ? »  

"La singularité" avait jeté une bouteille dans l’océan de l’infini en espérant en retour d’un début de « l’effet mère ».  

D’où cette citation de Robert Oppenheimer, physicien (de la bombe atomique)
 « J’aimerais bien connaître l’intelligence suprême qui ne descends pas d’une longue lignée de prédateurs ! »
https://youtu.be/80YGrxj1g70

Il rajoute mélancoliquement , "je suis un destructeur des mondes !"
La théorie de Darwin est toujours d’actualité avec les prédateurs humains.

Combien « de révolution » faudra t-il autour du soleil, afin de mettre  le pieds sur la bonne marche de notre future évolution ?
https://youtu.be/ML1OZCHixR0

Le réalisateur Stanley Kubrick avait-il tout compris dans la nature profonde de l’homme.
La faune humaine devrait  réduire son gène égoïste, comme l’affirme   Richard Dawkins  qui pour lui
« L’humain n’est qu’un virus de copie, du gène égoïste qui le gouverne. »

D’où cette autre citation d’un scientifique : «Et si l’aventure humaine avait échouée ! »

N’attendons pas la fin de notre temps pour résoudre nos problèmes existentiels.

Sinon,  "La singularité" dans l’ombre pourrait choisir une autre planète que la notre.
Nous l’aurions encore une fois  dans l’os et bon pour refaire un tour dans le manège de la préhistoire.

Oscar a écrit:« L’humain n’est qu’un virus de copie, du gène égoïste qui le gouverne. »

Oui tout simplement, l'humain est un virus qui a évolué jusqu'à en devenir la maladie de la planète et je pense qu'à un moment où à un autre la planète va mourir avec les virus qu'elle porte ou elle va se défendre et tuer les virus qu'elle porte sur elle.

Jean-pierre répond :

Oscar a écrit:« L’humain n’est qu’un virus de copie, du gène égoïste qui le gouverne. »

Oui tout simplement, l'humain est un virus qui a évolué jusqu'à en devenir la maladie de la planète et je pense qu'à un moment où à un autre la planète va mourir

J'aime bien ton court commentaire JP!
Au niveau de la réactualisation en mode « reset » de la planète terre...
Nous avons tous les outils : vandalisme écologique, armes de destructions massives et même  les armes bactériologiques

avec les virus qu'elle porte ou elle va se défendre et tuer les virus qu'elle porte sur elle.

Comme si le destin de la planète bleue avait prévue dans son programme un plan B
 contre "l'homme/cancer" de la planète.

Comme la écrit un généticien célèbre: "Et si l'expérience humaine avait échouée !"

Ou la planète se défend ou elle meure, reste à savoir si elle aura les capacités de se défendre ou si l'homme en sera son prédateur final.

L'idiotie des virus c'est qu'ils finissent toujours par mourir avec la personne qu'ils ont contaminé.

Pour se concentrer sur ses ultimes vérités...
Parait-il, il  faut taire des neurones.

Même quand votre esprit semble ne faire aucun effort, votre cerveau continue à travailler gratuitement.

Tout une ensemble de régions cérébrales appelé "le réseau par défaut" , fonctionne en effet en permanence.

Ce réseau permettrait aux pensées de vagabonder librement, en compagnie du fameux neurone de concept,
voire constituerait un élément essentiel de la conscience.
 
Mais qu’il s’agisse de se concentrer sur une tâche précise et le réseau part défaut doit s’effacer et réduire son activité

Les chercheurs en neurosciences ont prouvé que l’activité électrique  des neurones de réseau est d’autant plus réduite quand la tâche demande une forte concentration.

Conclusion:
Le promeneur vagabondeur devra laisser temporairement son neurone de concept dans une case vide de son esprit,
qui sait une idée géniale peut naître suite à une grande solitude.

Je ne suis pas d'accord avec l'étude, c'est en marchant sur de longues distances que j'ai pensé la plupart de mes sorties et que je les ai mises au point dans ma tête avant de les mettre en dossiers sur l'ordinateur.

Jean-pierre a écrit:Je ne suis pas d'accord avec l'étude, c'est en marchant sur de longues distances que j'ai pensé la plupart de mes sorties et que je les ai mises au point dans ma tête avant de les mettre en dossiers sur l'ordinateur.

Je suis d'accord avec Jean Pierre !
C'est souvent en marchant que subitement une idée , un texte, un dessin me vient à l'esprit , j'ai toujours dans ma poche des petits carton pour écrire .
L’imaginaire ne se contrôle pas , mais il faut remarquer que l'exercice physique est un starter de déclenchement d'idée.

Conclusion d'oscar :
Le promeneur vagabondeur devra laisser temporairement son neurone de concept dans une case vide de son esprit,
qui sait une idée géniale peut naître suite à une grande solitude.

L’imaginaire à horreur du vide d'une case , d'une cellule de prison...
Les plus grands écrivains ont été sous la pression de la contrainte physique.
vaste sujet , la liberté confiné peut provoquer "une explosion" de l'immagination.
Passionnant...

C'est comme ça que l'idée    du roman " Don Quichotte de la Mancha " de Cervantes    lui est venu

en prison    il a imaginé ce personnage  

la Mancha  en Espagne  est aussi propice à l'imagination puisque sur des kms  
le regard n'a rien pour s'y accrocher   l'âme vagabonde    et lorsque des moulins apparaissent au loin  l'imaginaire   est à l'oeuvre

la Mancha


soudain les moulins au loin

J'ignorais ce détail sur Cervantes, mais en tout cas ce fut une pensée de génie.

Jean-pierre a écrit:J'ignorais ce détail sur Cervantes, mais en tout cas ce fut une pensée de génie.

Pareil, je n'étais pas au courant de ce détail !