Marc Van Ranst s’est exprimé suite à la décision de rendre le masque obligatoire dans les magasins et autres lieux publics fermés à partir de ce samedi.
Faire vos courses dans un supermarché ne sera plus jamais comme avant. Ce jeudi 9 juillet, et comme nous vous l’annoncions en primeur, le Comité de concertation a décidé d’élargir l’obligation du port du masque, suivant ainsi les nouvelles recommandations du GEES. La protection buccale sera désormais obligatoire, à partir de samedi, dans les magasins et autres lieux publics fermés.
Un nouveau rebondissement dans cette saga des masques en Belgique, tant les avis sur la question ont divergé depuis le début de la crise. D’abord jugé comme superflu, puis utile mais non-obligatoire, le voilà maintenant absolument nécessaire. « Il est vrai que dans nos conseils précédents, nous avions fortement recommandé de porter un masque buccal dans les magasins », confie Marc Van Ranst à nos confrères du Nieuwsblad. « Nous pensions qu’une telle recommandation suffirait. Mais non. Vous avez senti l’élan grandir et maintenant le moment était venu. Il est de plus en plus évident que le coronavirus peut se propager à travers de petites particules flottant dans l’air. Les masques buccaux fournissent moins de ces gouttelettes et réduisent ainsi la charge virale dans les zones mal ventilées. Il a fallu un certain temps avant que tout le monde ne soit convaincu, mais le moment était venu », ajoute-t-il.
sudinfo.be
Et ça viendra aussi en France à moins qu'il n'y ait des associations de défense des libertés qui obligent les gouvernement à reculer sur ces obligations liberticides.
La vrai raison de cette obligation n'est pas le virus chinois de Wuhan mais c'est que les distributeurs ont de gros stocks de masque dans les plateformes de distribution qui leur coutent cher et qui leur prenne de la place.
Ils pensaient avoir suffisamment affoler la population et que tout le monde allait se ruer sur les masques et qu'ils pourraient faire de gros bénéfices et puis finalement le virus à régressé
et les gens n'ont pas paniqué outre mesure et ils se retrouvent avec de gros invendus.
A partir de là, il fallait faire pression sur le gouvernement pour le rendre obligatoire et forcer les consommateur à acheter des masques et a espérer qu'ils en prennent l'habitude pour que ça devienne une marché très lucratif pour eux.
En attendant j'irais faire mes courses en France ou au Luxembourg parce que respirer son gaz carbonique ce n'est pas un truc que j'aime.