Pelayo a écrit:Dire que 3 petits mois d'arrêt de la production ça met à genoux une économie .. c'est bien la preuve que le système dans lequel on vit est merdique
C'est ainsi. Les dirigeants ont demandé un confinement. Moins d'une semaine après , mon patron m'appelait pour s'enquérir de ma santé et de mon moral. Et sous couvert les autorités lui demandait de ré-ouvrir. Dans le système où nous évoluons, quand "la maille" ne rentre plus et au vue des déficit abyssaux, ça créé un déséquilibre. C'était écrit.
Je travaille dans une entreprise familiale qui compte environ 80 salariés. Si une majorité est impactée par une maladie le déséquilibre peut causer sa perte.
Jean Pierre a écrit:Ceci-dit c'est un mal pour un bien, moins de consommation c'est moins de pollution aussi et ce serait bien si les gens apprenaient à ne plus consommer débiles mais utile et n'achetant pas de la m.... qui vient de l'autre bout du monde et qui cassera ou sera inutilisable en peu de temps.
Bien malheureusement , je n'y crois pas une minute, les gens sont comme des bombes à retardement. Et j'aurais presque l'impression que cette pandémie a été introduite pour un laboratoire général des comportements (mais pas que ça). Qui va de la débilité à la mort. L'état profond prends acte et note de l'attitude des gens.
Quand on voit les gens faire une queue de 3 heures au fast food, pour de la nourriture pas vraiment saine, il y a matière à se poser des questions.
Demain , une campagne de solde serait annoncée à grand renfort de Publicité, je suis sûr à 300% que l'on retrouverai une hystérie collective. Puisque sur certains réseaux on peut voir des gens se battre pour un paquet de PQ.
Autre exemple local, nous avons un magasin en vrac dans la ville où je demeure, pendant le confinement, les gens y allaient, désormais il retourne à la grande distribution.
Les gens n'apprennent rien.
Je vous poste le billet d'humeur n°5 que je poste sur un réseau social au bon vouloir de mon sentiment du moment.
- Spoiler:
Billet d'humeur numéro 5
Après le confinement, le dé-confinement, les finement cons sont ressortis. Ne serait ce que sur la route pour commencer.
Cette période reclus n'a rien appris ni n'apprendra rien aux gens. Elle aurait pu être propice à une réflexion en profondeur pour se pencher sur la façon de vivre sur cette planète où ce n'est plus un secret de dire que nous sommes en surpopulation.
Une petite citation d'Aldous Huxley qui a écrit : « le meilleur des mondes » en 1932 :
« La dictature parfaite serait une dictature qui a les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songerait même pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l'amour de leur servitude »
La nature était entrain de reprendre ses droits et ceci en un très petit laps de temps. Les animaux ressortaient des forêts et s'aventuraient vers l'être humain.
On pouvait voir l'impact de l'homme sur la pollution de la planète, le bruit en sus.
Juste 2 mois que la planète terre mère a eu pour «respirer».
Les travers de l'homme sont revenus comme un automatisme.
Des queues dans des chaînes de fast food, pendant une période où les gens auraient eu largement le temps de faire des courses chez des producteurs locaux et largement le temps de réaliser un repas équilibré. Une information que j'avais lue ou entendue comme quoi des produits addictifs seraient inclus dans les préparations de ces entreprises pour que le client revienne me semble pertinente. Ce n'est pas la seule raison, le développement du temps libre en est la cause également. J'ai la conviction que pour une grande majorité de gens, cuisiner est une perte de temps.
Pour revenir à la nature, les mauvais réflexes repris de jeter les emballages vides à travers la fenêtre de la voiture par fainéantise et facilité engendrée par un manque d'éducation latent. La mauvaise publicité faite par des clients indélicats et dont la chaîne n'en a strictement rien à foutre sinon ils auraient déjà trouvé la parade.
Mais même à 1 m de la poubelle , l'homme jettera par terre . Par facilité ou par manque de temps, argumentation obsolète.
Pour en venir au travail, la période a été sûrement dure au niveau des profits pour la minorité qui détient les richesses.
Des taxes ou impôts vont sûrement être créés pour couvrir les pertes, une création de dettes que nos enfants devront payer.
On va nous demander de travailler plus , pour gagner moins et surtout un argument pour rattraper la croissance perdue que l'on ne rattrapera pas mais on nous le fera croire pour exploiter le maximum de potentiel des individus et polluer beaucoup plus cette planète, piller les ressources naturelles.
Nous sommes repartis à une course à la rapidité alors que nous nous dirigeons vers une course de fond.