Le coronavirus a plongé le monde dans une ère presque apocalyptique : hôpitaux surchargés, rues désertes, confinement, magasins pris d’assaut… Une situation à laquelle certaines personnes s’étaient préparées depuis des années aux Etats-Unis : les « préparateurs apocalyptiques ». James est l’un d’entre eux.
On a assisté ces derniers jours à des scènes de chaos dans les différents supermarchés de notre pays. La Belgique n’est pas un cas isolé. Partout dans le monde, les mêmes scènes se répètent alors que les différents annoncent des mesures de confinement sans précédent. Pourtant, comme répété depuis le début de la crise coronavirus, les magasins ne connaîtront pas de pénurie.
Cela n’empêche pas la population de faire des stocks (de papiers toilette, de conserves, etc.). Une panique générale qui fait doucement sourire les « préparateurs apocalyptiques ». Aux États-Unis, une minorité de personnes s’étaient en effet préparées, pendant des années, au jugement dernier en construisant des bunkers et en stockant des aliments pour se protéger et protéger leurs familles. James Wesley Rawyles, 59 ans, est l’un d’entre eux. Pendant 15 ans, il s’est préparé au pire et pense que ses efforts pourraient aujourd’hui porter leurs fruits.
« J’ai éloigné ma famille et stocké des gants et des masques »
« Je déteste dire que je vous l’avais dit… mais je vous l’avais dit ! » Dans les colonnes du Sun, James ne passe pas par quatre chemins. Ce père de famille américain âgé de 59 ans a exhorté ses concitoyens à « paniquer et échapper au rush » en adoptant un mode de vie de « préparateurs apocalyptique ».
Depuis 15 ans, James et sa famille vivent reculés dans la forêt, à des kilomètres de la civilisation. « Je suis un survivant depuis mon adolescence mais j’ai réellement fait mon premier pas dans la ‘nature sauvage’ en 1992. » Hors du système, il vit de ses terres en passe ses journées à récolter ainsi qu’à chasser. Il a également créé un blog dans lequel il distille ses conseils aux autres « préparateurs » et « survivants » pour rester en sécurité si le pire se produit.
Le père de famille explique avoir adopté ce mode de vie et éloigné sa famille du monde moderne en prévision d’événements comme un virus mondial. Aujourd’hui, face à la pandémie de coronavirus, James n’a pas l’intention de se cacher ou de quitter son domicile. Il dispose de son propre réseau électrique et ne craint donc pas une éventuelle panne, si panne des réseaux électriques il y a.
Pour lui, la sonnette d’alarme doit être tirée. James invite en effet les non-préparateurs de son pays à s’approvisionner en nourriture. « Je pense qu’il y aura plus qu’une simple pénurie de désinfectant pour les mains et de papier hygiénique. Je pense qu’il y aura des pénuries alimentaires », affirme-t-il. « Mon conseil serait de paniquer désormais et d’échapper à la cohue », ajoute-t-il.
James se dit, lui, prêt à affronter la situation, avec son stock de 95 masques faciaux, de centaines de paires de gants en latex et de réserves alimentaires pour tenir quatre ans
sudinfo.be
Je veux bien faire du survivalisme mais encore faut-il en avoir les moyens et pouvoir s'acheter une maison à l'écart de tout et pouvoir se tenir à l'écart de tout.
Malheureusement, on ne peut pas loger 7 milliards d'humains à la campagne sinon ça deviendrait des villes à la campagne.