Pays aux contrastes importants selon les saisons, l’Est de la Turquie et l’Iran vont carrément d’un extrême à l’autre, une chaleur insupportable l’été, et un froid glacial l’hivers, aussi en hivers il n’est pas rare que des chutes de neiges très importantes paralysent le trafic routier complètement.
A l’époque de nos voyages, les moyens mis en œuvre pour le dégagement des routes était bien médiocre, et, bien souvent nous avons fais les frais de cette médiocrité, nous pouvions rester plusieurs heures ou même plusieurs jours bloqués par la neige et les congères dans une longue file de camions, autobus et voitures.
Cela m’est arrivé, en Iran, je suis resté bloqué 4 jours complets à attendre que la situation se normalise un peu, mais …n’en est t-il pas de même en France à présent, les camions sont systématiquement bloqués dès qu’il y a 2 cm de neige (sic) .
Pendant ces 4 journées, le moteur n’à cessé de tourner, par contre il ne faisait pas assé froid pour avoir des ennuis avec le Gasoil gelé, les congères se formaient tout autour des camions qui se trouvaient ainsi ensevelis, bon nombre n’ont pas pu repartir tans la neige s’était amoncelée autour d’eux.
Chaîné en quinconce sur les deux essieux arrière, chaque matin je faisais ma « trace » sur quelques mètres, il ne faut surtout pas serrer le frein à main, ça gèle, on ne peu plus repartir, sans l’intervention du « Brûlot »
L’Armée et la Police patrouillaient quand même continuellement, et il est à noter qu’ils s’arrêtaient auprès de chaque camion, pour proposer du pain, de l’ eau, des sardines , etc. dans ces cas là ; il vaut mieux avoir le garde mangé bien garni.
Malheureusement, bon nombre de véhicules vont au talus, il y a les gonflés, les inexpérimentés et les non équipés, alors bien sur pour les grandes maison de Transports, comme Willy Betz ou autres Bulgares, ils ont des services de dépannages prêts à intervenir, mais les petits, ils doivent se débrouiller par eux-mêmes, si ce n’est pas trop grave, en demandant qu’on les tirent, autrement les moyens locaux ou les occasionnels.
Les occasionnels, c’est comme ce convoyeur d’une auto grue Allemande, il allait livrer la machine en Iran, mais tout le long de la route, il «dépannait » à tour de bras, ils n’était pas trop cher mais il s’est fait un pognon fou avec ça, jusqu’au matin ou il a voulu remettre sur la route un container, peut ètre le froid, toujours est il que la flèche de la grue à cassé net…allez expliquer ça au patron…
A l’époque de nos voyages, les moyens mis en œuvre pour le dégagement des routes était bien médiocre, et, bien souvent nous avons fais les frais de cette médiocrité, nous pouvions rester plusieurs heures ou même plusieurs jours bloqués par la neige et les congères dans une longue file de camions, autobus et voitures.
Cela m’est arrivé, en Iran, je suis resté bloqué 4 jours complets à attendre que la situation se normalise un peu, mais …n’en est t-il pas de même en France à présent, les camions sont systématiquement bloqués dès qu’il y a 2 cm de neige (sic) .
Pendant ces 4 journées, le moteur n’à cessé de tourner, par contre il ne faisait pas assé froid pour avoir des ennuis avec le Gasoil gelé, les congères se formaient tout autour des camions qui se trouvaient ainsi ensevelis, bon nombre n’ont pas pu repartir tans la neige s’était amoncelée autour d’eux.
Chaîné en quinconce sur les deux essieux arrière, chaque matin je faisais ma « trace » sur quelques mètres, il ne faut surtout pas serrer le frein à main, ça gèle, on ne peu plus repartir, sans l’intervention du « Brûlot »
L’Armée et la Police patrouillaient quand même continuellement, et il est à noter qu’ils s’arrêtaient auprès de chaque camion, pour proposer du pain, de l’ eau, des sardines , etc. dans ces cas là ; il vaut mieux avoir le garde mangé bien garni.
Malheureusement, bon nombre de véhicules vont au talus, il y a les gonflés, les inexpérimentés et les non équipés, alors bien sur pour les grandes maison de Transports, comme Willy Betz ou autres Bulgares, ils ont des services de dépannages prêts à intervenir, mais les petits, ils doivent se débrouiller par eux-mêmes, si ce n’est pas trop grave, en demandant qu’on les tirent, autrement les moyens locaux ou les occasionnels.
Les occasionnels, c’est comme ce convoyeur d’une auto grue Allemande, il allait livrer la machine en Iran, mais tout le long de la route, il «dépannait » à tour de bras, ils n’était pas trop cher mais il s’est fait un pognon fou avec ça, jusqu’au matin ou il a voulu remettre sur la route un container, peut ètre le froid, toujours est il que la flèche de la grue à cassé net…allez expliquer ça au patron…
Dernière édition par le Mar 21 Nov 2006 - 11:14, édité 2 fois