Le torchon brûle entre les socialistes ....
L’observateur est tenté d’ajouter : qui l’ignore encore ? – à part les intéressés évidement, puisqu’il est de notoriété que les cons et les morts ont ceci en commun qu’ils sont les seuls à ne pas le savoir…
Esnol reproche à son camp politique de faire à peu près tout de travers :
• La direction du PS ? : je ne suis « plus en phase avec le PS et ceux qui le dirigent, en particulier Harlem Désir ».
• L’affaire Leonarda ? : « la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ».
• La réforme des rythmes scolaires ? « Plus de problèmes [que] de solutions. »
• La politique fiscale ? : un scandale, « l’imposition nouvelle d’un million de foyers modestes ! »
• Le PS ? : un « parti d’apparatchiks incapables de se faire élire localement et qui s’autorisent à donner à tout le monde des leçons de morale empreintes de pathos sentimental et victimaire pour mieux servir leurs intérêts personnels. »
Et Esnol a claqué la porte du groupe socialiste du Sénat et rejoint celui du Parti des radicaux de gauche (PRG)…
Chaque semaine, dans nos colonnes, Gilles William Goldnadel s’interroge : « Si je ne le dis pas, alors qui va le dire ? »
Goldnadel a sa réponse. Et elle vient du PS, ce qui est normal : aucun honnête homme ne peut croire que le socialisme puisse pervertir 100% de ses cerveaux.
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