A Genève, le secrétaire d’État américain John Kerry et son homologue russe Sergei Lavrov ont commencé, hier jeudi 12 septembre, à négocier le démantèlement de l’arsenal chimique syrien.
S’adressant publiquement avant la première réunion, Kerry a déclaré qu’il espère que la diplomatie permettra d’éviter aux Etats Unis une frappe contre la Syrie en raison des fortes suspicions qui pèsent sur le gouvernement Assad de l’usage d’armes chimiques, fin août, en banlieue de Damas.
“Nous ne pouvons pas accepter que cela se reproduise”, a déclaré Kerry, en répétant ses accusations contre le régime syrien.
“Nous attendons beaucoup”, des négociations, a ajouté Kerry. “Ce n’est pas un jeu.”
Kerry a indiqué que même si la Russie et les États Unis ne sont pas d’accord sur les auteurs des attaques chimiques, “il y a beaucoup d’aspects sur lesquels sont sommes d’accord”, y compris le fait que la mort de civils durant l’attaque chimique est une menace dans le conflit syrien.
JPG : ah bon ? Plus que les 110 000 morts précédents ?
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Au G20, François Hollande a ressenti une grande solitude, lui qui avait fait les gros bras, fin août, en annonçant que « la France est prête à punir ceux qui ont gazé des innocents », et qu’« une frappe de missile contre la Syrie pourrait être lancée « dès jeudi »…
Finalement la France ne punit personne, et elle attends probablement la semaine des 4 jeudis pour frapper la Syrie.Il joue au Sudoku
Personne n’adresse la parole à Hollande
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