par oscar Dim 29 Oct - 21:54
Jean-pierre a écrit:
mais par´moment je me demande si cela ne fait pas partis d'un vaste plan pour déstabilisé le pays ou je ne sais quoi.
Jean pierre : C’est marrant ce que tu dis là !
A l’époque de Général De Gaulle qui
était pour l’indépendance Française !
Et non pour la protection américaine…
Quelque temps après, mai 1968 éclate
les troubles par des
étudiants étrangers…
Aujourd’hui, c’est sensiblement
le même scénario d’approche…
Mais qui tire vraiment les ficelles ?
Difficile a dire !
Sarkozy?
Les médias?
Les journalistes aux mains des grands
groupes de presses qui veulent
le monopole de l’information ?
Les partis politiques impuissants
à résoudrent les problèmes économiques…
Allons donc savoir…
Personnellement, je pencherais pour
le dialogue du film mort d’un pourri :
Voici le texte du dialogue entre
Claus Kinski cyniquement hautain
et Alain Delon.
CLAUS KINSKI :
« Monsieur Maréchal (Delon) le climat politique n’est pas bon !
En attendant qu’il installe L’INTERNATIONAL DU PROLO…
On a mis en place L’INTERNATIONAL DU POGNON…
C’est quand même un peu plus sérieux…
Croyez-moi !
Des mots comme belligérants, alliés n’ont
plus de sens.
Nous n’avons plus d’amis, nous avons des partenaires…
Nous n’avons plus d’ennemis, nous avons des clients…
Le capital ne connaît plus de frontière. »
DELON :
« La corruption non plus je suppose ? »
KINNSKI :
« La vérité ne changera rien fondatellement,
deux TROIS GUIGNOLS POLITIQUES iront en prison.
La morale ne correspond plus en rien.
Votre dernier GRAND CHEF D’ETAT
(De gaulle) ne vous pas l’envoyer
dire« QUE VOUS ETIEZ DES VEAUX ! »
En quoi ça dérange-t-il le veau :
Qu’un secrétaire d’état, où un directeur
de cabinet s’enrichisse un peu trop
rapidement !
Croyez-vous que la situation économique
en soit affectée ?
Allons donc !
L’essentiel est de construire, de produire
et donner aux veaux ce qu’ils désirent :
à bouffer, à boire, à baiser et donner
aux veaux à partir le samedi sur l’herbe,
avec quelque transhumance en attitude
en hiver. »
La toute dernière réplique du film
dans la bouche Delon…
« Deux fléaux qui menacent l’humanité :
LE DESORDRE, ET L’ORDRE !
La corruption me dégoûte, la vertu me
donne le frisson…
DORMEZ, BONNES GENS !...DORMEZ BRAVES GENS !"
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"C'est de l'humour!...Ne nous fachons pas!"