Les charges de la fonction présidentielle et les fastes de la République vont métamorphoser la sécurité de François Hollande.
Pour l'instant, François Hollande bénéficie encore de la protection rapprochée qui était la sienne jusqu'au second tour de l'élection, soit 15 gardes du corps. Quinze anges gardiens qui n'ont pas quitté d'une semelle le candidat PS. Ils devraient servir de socle au nouveau Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR). «En règle générale, les équipes de protection rapprochée changent de personnalité à chaque alternance, précise un policier de haut rang. Cela évite que ne s'installe une routine dangereuse, que des fonctionnaires s'entendent moins bien au fil des années ou qu'ils se livrent à des comparaisons avec l'époque précédente…»
Ainsi, les 80 policiers du GSPR attachés à la protection de Nicolas Sarkozy seront mutés dès la passation des pouvoirs. Quelques officiers resteront en poste pour assurer la continuité du service. Les autres effectueront d'autres missions, chaperonnant une personnalité française ou étrangère. D'ici à lundi ou mardi au plus tard, ce grand jeu de chaises musicales sera le même pour les officiers de sécurité rattachés à Matignon et aux ministres du gouvernement Fillon, actuellement dans les cartons. Selon nos informations, pas moins de 200 superflics du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) vont vivre le changement programmé. Ce basculement, sur lequel planchent déjà une poignée de stratèges, se fera en quelques heures.
Reste à savoir si François Hollande pourra continuer à vivre comme un citoyen «normal», comme il en a formé le vœu. Lui qui n'a pas caché son goût pour le train devrait changer ses habitudes. «Imaginons que le président élu ait pris les réseaux ferrés le 6 mai au soir, il aurait mis dix heures pour faire Tulle-Paris, résume un spécialiste. Très vite, ceux qui arrivent aux affaires comprennent la nécessité de réduire au maximum les temps de transport pour se consacrer à l'exercice de l'État.» Par ailleurs, ce moyen de déplacement, à la différence de l'avion présidentiel, ne permet guère de communications cryptées et protégées. «Enfin, en cas de menaces précises, le SPHP serait obligé de mettre en place des mesures draconiennes, prévient un organisateur des voyages officiels. Comment réagiraient plusieurs centaines de passagers d'un TGV si on leur imposait de venir trente minutes avant le départ pour passer sous un portique détecteur de métaux?»
Flamby Ier nous à dit qu'il allait prendre le train et réduire les coût de la fonction présidentielle et bien nous allons voir ça, je crois qu'il doit aller à Tulle dans les prochain jours pour siéger au conseil régional, on va voir si c'est le train qu'il prend pour y aller.
On va voir si il va alléger sa protection, aussi pour que nous ne payons pas trop d'impôt après tout 3 à 5 garde du corps devraient suffire.
Des broutilles pensez vous mais rien que par là on voit que notre fraise des bois n'a pas autre chose que du yaourt dans le cerveau, avant de dire qu'il prendrait le train choses quasi impossible pour un président et pas souhaité du tout par la SNCF.
Deux choses l'une, soit il est mal renseigné et ça craint pour l'avenir car il va exprimer des vœux irréalisables soit il l'a fait sciemment pour se faire passer pour un homme normal et dans ce cas il a volontairement tromper tous le monde pour apaiser sa soif de pouvoir.