Parfois je me range à l'avis de certains détracteurs, mais il me faut de bonnes raisons pour le faire.
Exemple la Sécurité Sociale.
Cette "Sécurité Sociale" est galvaudée tant à la fois par certains employés, mais aussi par certains cotisants, mais aussi par certains toubibs.
Je commence par l'assuré social.
Je suis un malade que l'on appel un malade longue durée, pourtant je vais bien, mais le diabète type 2, est d'après les toubibs une maladie surement incurable, et qui n'empêche pas de vivre mais qui doit être géré de façon régulière.
Mon épouse, elle est gravement malade, "dissection aortique" et elle ne peut en aucun cas travailler ou faire des efforts, donc et cela malgré mon âge j'ai pris la décision, de reprendre le travail.
Donc de nouveau je cotise depuis deux ans , et de nouveau je suis derrière un volant, et cela à la seule fin de pouvoir et vivre décemment et de ne pas être à la charge totale de la Sécurité Sociale. Pour Chantal, une visite de toubib est obligatoire tous les mois, avec tous les six mois un scanner, et tous les ans une visite auprès d'une sommité en ce domaine, à la Pitié Salpêtrière. Pour ma part une visite trimestrielle avec mon médecin traitant.
Mon épouse se plaint de plus pouvoir travailler, mais ce problème l'empêchera pour le reste de ses jours.
Combien nous coutons à la Sécurité Sociale, honnêtement , j'en ai aucune idée.
Mais car il y a un mais, dans mon métier, il y a des gens qui font supporter leurs addictions à la sécurité sociale.
Je m'explique, les conductrices et conducteurs de poids lourds doivent passer leurs visites médicales du travail tous les ans.
Dans cette profession , certains sont des fumeurs de chichons, et lorsque la médecine fait son travail et découvre que la personne est sous l'emprise de son addiction, elle prend la décision de mettre en maladie pour un durée maximum de trois mois, la personne. Et pendant les trois mois la personne est à la charge de la sécurité sociale. Puis intervient la visite de contrôle et si la personne est toujours sous l'emprise des stupéfiants, rebelote, trois mois de plus, heureusement il n'y a pas de troisième fois.
Mais si je résume cette situation pendant six mois, cette personne va toucher 62% de son salaire, et va continuer à vivre avec addiction, au frais de tous.
Il ya bien d'autre personnes qui profitent de cette générosité apparente de la sécurité, et donc qui vivent en fait sur le dos des autres.
Coluche voulait avoir un cancer du bras, pour être en souffrance de travail, mais cela n'est pas très loin de la réalité, bien des personnes "malades" sont en fait des personnes qui pourraient être travaillantes si elles n'avaient pas pris une décision, celle de profiter du système et donc d'être à la charge de ceux qui travaille.
L'esclavage n'avait pas d'autre raison.
Mais il y a aussi des personnes qui travaillent à la sécurité sociale, et j'en ai trouvé qui avait envie de travailler.
Mais il ya une diaspora au sein des instances sociales qui font que "travailler c'est trop dur" et qu'il vaut mieux faire le travail lentement car un dossier celui de Chantal a eu un petit problème au départ, et la sécurité sociale à pris les devants et financièrement parlant a réglé le problème en sa faveur, et cela va faire un an et demi que nous attendons de passer en commission pour savoir si elle "la sécurité sociale" a eu tord ou raison.
Trop souvent lors de visites que nous devons faire au bureau de la Sécu, nous pouvons admirer la dextérité avec laquelle est préparé et avalé le café.
Fonctionnaire je suis fonctionnaire je reste.
Et les toubibs !!!
Eux font le reste, ils sont les pourvoyeurs de feuilles de maladie. Pour ma part, je n'ai pas ce problème, mon médecin traitant est intraitable en ce qui concerne les "tires au flanc". Mais d'autres toubibs eux font partie de ces donneurs feuilles d'agréments sociales.
Et malgré tout le plus gros dissimulateur des fonds de la sécurité sociale, est l'Etat lui même qui reste à devoir à cet organisme des millions d'€uros.
Mais nous sommes dans un pays ou la gestion des dignitaires de notre gouvernement est digne d'un gouvernement du Sénégal.
Exemple la Sécurité Sociale.
Cette "Sécurité Sociale" est galvaudée tant à la fois par certains employés, mais aussi par certains cotisants, mais aussi par certains toubibs.
Je commence par l'assuré social.
Je suis un malade que l'on appel un malade longue durée, pourtant je vais bien, mais le diabète type 2, est d'après les toubibs une maladie surement incurable, et qui n'empêche pas de vivre mais qui doit être géré de façon régulière.
Mon épouse, elle est gravement malade, "dissection aortique" et elle ne peut en aucun cas travailler ou faire des efforts, donc et cela malgré mon âge j'ai pris la décision, de reprendre le travail.
Donc de nouveau je cotise depuis deux ans , et de nouveau je suis derrière un volant, et cela à la seule fin de pouvoir et vivre décemment et de ne pas être à la charge totale de la Sécurité Sociale. Pour Chantal, une visite de toubib est obligatoire tous les mois, avec tous les six mois un scanner, et tous les ans une visite auprès d'une sommité en ce domaine, à la Pitié Salpêtrière. Pour ma part une visite trimestrielle avec mon médecin traitant.
Mon épouse se plaint de plus pouvoir travailler, mais ce problème l'empêchera pour le reste de ses jours.
Combien nous coutons à la Sécurité Sociale, honnêtement , j'en ai aucune idée.
Mais car il y a un mais, dans mon métier, il y a des gens qui font supporter leurs addictions à la sécurité sociale.
Je m'explique, les conductrices et conducteurs de poids lourds doivent passer leurs visites médicales du travail tous les ans.
Dans cette profession , certains sont des fumeurs de chichons, et lorsque la médecine fait son travail et découvre que la personne est sous l'emprise de son addiction, elle prend la décision de mettre en maladie pour un durée maximum de trois mois, la personne. Et pendant les trois mois la personne est à la charge de la sécurité sociale. Puis intervient la visite de contrôle et si la personne est toujours sous l'emprise des stupéfiants, rebelote, trois mois de plus, heureusement il n'y a pas de troisième fois.
Mais si je résume cette situation pendant six mois, cette personne va toucher 62% de son salaire, et va continuer à vivre avec addiction, au frais de tous.
Il ya bien d'autre personnes qui profitent de cette générosité apparente de la sécurité, et donc qui vivent en fait sur le dos des autres.
Coluche voulait avoir un cancer du bras, pour être en souffrance de travail, mais cela n'est pas très loin de la réalité, bien des personnes "malades" sont en fait des personnes qui pourraient être travaillantes si elles n'avaient pas pris une décision, celle de profiter du système et donc d'être à la charge de ceux qui travaille.
L'esclavage n'avait pas d'autre raison.
Mais il y a aussi des personnes qui travaillent à la sécurité sociale, et j'en ai trouvé qui avait envie de travailler.
Mais il ya une diaspora au sein des instances sociales qui font que "travailler c'est trop dur" et qu'il vaut mieux faire le travail lentement car un dossier celui de Chantal a eu un petit problème au départ, et la sécurité sociale à pris les devants et financièrement parlant a réglé le problème en sa faveur, et cela va faire un an et demi que nous attendons de passer en commission pour savoir si elle "la sécurité sociale" a eu tord ou raison.
Trop souvent lors de visites que nous devons faire au bureau de la Sécu, nous pouvons admirer la dextérité avec laquelle est préparé et avalé le café.
Fonctionnaire je suis fonctionnaire je reste.
Et les toubibs !!!
Eux font le reste, ils sont les pourvoyeurs de feuilles de maladie. Pour ma part, je n'ai pas ce problème, mon médecin traitant est intraitable en ce qui concerne les "tires au flanc". Mais d'autres toubibs eux font partie de ces donneurs feuilles d'agréments sociales.
Et malgré tout le plus gros dissimulateur des fonds de la sécurité sociale, est l'Etat lui même qui reste à devoir à cet organisme des millions d'€uros.
Mais nous sommes dans un pays ou la gestion des dignitaires de notre gouvernement est digne d'un gouvernement du Sénégal.