« Notre avenir va-t-il devenir d'Al Gore ? »
Ha !... les vacances, je confirme sans réserve
cela fait du bien !
Autre climat, autres décors, différents gens.
C’est salutaire, une interruption dans nos bonnes
comme mauvaises habitudes.
La méditation sur une plage n’est pas comparable
à celle devant l’écran affreusement plat d’un ordinateur.
C’est vrai, en France tout est réduit à la prise
de position bipolaire…
C’est très tendance, comme par exemple :
« Ségolène contre Sarkozy »
Féminin contre trop masculin !
Puis, il y a les indécis qui s’en foutent royalement !
Qui doutent en se posent des questions.
Au risque de faire taxer, d’ignares imbéciles.
Par les possesseurs des vérités suprêmes,
qui savent tout dans leurs incontournables
formelles certitudes.
Le temps nous presse, alors simplifions, encore
un peu plus la pensée unique !...
Comme le dit Sarkozy :
« Je n’ai pas besoin de maître à penser,
je suis un homme libre ! »
Amusante comme rhétorique : Le maître où
« mètre », les paramètres idéologiques, aujourd’hui
se compte-t-il au centimètre ?
Cela finira sans doute en nanomètre
ou en « manomaitre » sur un monde perdu
d’avoir pratiqué la politique de l’autruche.
(Voir à l’affiche le film américain
Le film d'Al Gore sur le climat qui sort
en salles problèmes climatiques combiné
à l’effet papillon de Edward Lorenz)
« Tu es pour où contre ?
Dedans ou à coté de la plaque ? »
Le temps c’est bien connu : c’est de l’argent !
Il faut tout le temps…même pour aller pisser.
Les grands décideurs de ce monde en fusion
permanente sur les cours de la bourse.
Et leurs bi polarisation permanente pour faire
fonctionner à plein régime la mondialisation
galopante au détriment des habitants et de la planète.
Devraient faire comme les volcans se
mettrent en sommeil…
Cela nous ferais des vacances, avant la catastrophe finale.
Oscar
PS : Edward Lorenz
Edward N. Lorenz., météorologue américain
au MIT, découvre en 1963 que l'on peut
obtenir un comportement chaotique
avec seulement trois variables, soit
un système non linéaire à trois degrés
de liberté.
Ce qu'on appellera couramment plus
tard l'effet papillon , est en effet révélée
par le biais de l'instabilité d'un calcul numérique.
Il faudra ensuite près de quinze ans pour
que ces résultats soient compris et assimilés
par des groupes scientifiques différents,
des météorologues aux mathématiciens,
des astronomes aux physiciens, aux
biologistes des populations, etc.
Ha !... les vacances, je confirme sans réserve
cela fait du bien !
Autre climat, autres décors, différents gens.
C’est salutaire, une interruption dans nos bonnes
comme mauvaises habitudes.
La méditation sur une plage n’est pas comparable
à celle devant l’écran affreusement plat d’un ordinateur.
C’est vrai, en France tout est réduit à la prise
de position bipolaire…
C’est très tendance, comme par exemple :
« Ségolène contre Sarkozy »
Féminin contre trop masculin !
Puis, il y a les indécis qui s’en foutent royalement !
Qui doutent en se posent des questions.
Au risque de faire taxer, d’ignares imbéciles.
Par les possesseurs des vérités suprêmes,
qui savent tout dans leurs incontournables
formelles certitudes.
Le temps nous presse, alors simplifions, encore
un peu plus la pensée unique !...
Comme le dit Sarkozy :
« Je n’ai pas besoin de maître à penser,
je suis un homme libre ! »
Amusante comme rhétorique : Le maître où
« mètre », les paramètres idéologiques, aujourd’hui
se compte-t-il au centimètre ?
Cela finira sans doute en nanomètre
ou en « manomaitre » sur un monde perdu
d’avoir pratiqué la politique de l’autruche.
(Voir à l’affiche le film américain
Le film d'Al Gore sur le climat qui sort
en salles problèmes climatiques combiné
à l’effet papillon de Edward Lorenz)
« Tu es pour où contre ?
Dedans ou à coté de la plaque ? »
Le temps c’est bien connu : c’est de l’argent !
Il faut tout le temps…même pour aller pisser.
Les grands décideurs de ce monde en fusion
permanente sur les cours de la bourse.
Et leurs bi polarisation permanente pour faire
fonctionner à plein régime la mondialisation
galopante au détriment des habitants et de la planète.
Devraient faire comme les volcans se
mettrent en sommeil…
Cela nous ferais des vacances, avant la catastrophe finale.
Oscar
PS : Edward Lorenz
Edward N. Lorenz., météorologue américain
au MIT, découvre en 1963 que l'on peut
obtenir un comportement chaotique
avec seulement trois variables, soit
un système non linéaire à trois degrés
de liberté.
Ce qu'on appellera couramment plus
tard l'effet papillon , est en effet révélée
par le biais de l'instabilité d'un calcul numérique.
Il faudra ensuite près de quinze ans pour
que ces résultats soient compris et assimilés
par des groupes scientifiques différents,
des météorologues aux mathématiciens,
des astronomes aux physiciens, aux
biologistes des populations, etc.