Aux douze coups de minuit, ils étaient 5 000, selon la police, à participer à un «apéro géant» à Nantes (Loire-Atlantique). L'invitation avait été lancée cinq heures plus tôt, vers 19 heures, sur Facebook. Les autorités, faute d'organisateurs identifiés, avaient tenté de dissuader les Nantais de participer à cette grande beuverie.
Les trois quarts de la place Royale, lieu du rendez-vous, avaient été interdits d'accès par les forces de l'ordre, avec l'aide de barrières. Près de 300 policiers avaient été mobilisés en urgence. Eparpillés et déconcertés, de petits groupes hésitaient, certains avec des bouteilles de soda et de jus de fruits. Le transport d'alcool était interdit sur les lieux. Rassemblés en grande partie dans un square ouvert du centre-ville, près de la place Gloriette, les participants demeuraient dans une ambiance festive avec chants et sons de tambour en dépit de l'augmentation visible du taux d'alcoolémie général entre 22 heures et minuit.
Cinq personnes ont été admises pour ivresse avancée dans le centre de soin prévu à cet effet, a constaté l'AFP, mais leur état n'a pas nécessité leur transfert à l'hôpital. Une jeune fille inconsciente a notamment été emmenée sur une civière par les secouristes devant les journalistes. Par ailleurs, trois autres personnes ont été emmenées à l'hôpital pour blessures.
Trois personnes ont également été interpellées. Un mineur a été arrêté, lors d'une bousculade au milieu des badauds, pour avoir refusé de remettre une bouteille de jus de fruits remplie d'alcool à un policier qui voulait la vider. Sa mère a tenté de le défendre, alors que le coordinateur national de ce type de rassemblement, Eric Bergeault, donnait un entretien aux journalistes devant la scène. Il a été finalement remis à ses parents.
Sur Facebook, le débat avait été vif entre les «pro» et les «anti» qui mettaient les risques en avant. Ils faisaient référence au triste souvenir du dernier apéro géant nantais. Dans la nuit du 12 au 13 mai dernier, un jeune homme était mort lors d'un «apéro géant». Fortement alcoolisé, il avait fait une chute fatale. 10 000 personnes avaient participé à l'événement.
leparisien.fr
C'est amusant ou écœurant, au choix de voir qu'on peut mobiliser 300 policiers des barrières et toutes un logistique pour interdire un apéro bien convivial entre français et nantais et qu'on ne trouve pas les moyens de virer les envahisseurs de rue qui font des prières publiques
Encore une fois deux poids deux mesures, les musulmans peuvent envahir les rues impunément avec la bénédiction des autorités alors que ceux qui veulent juste passer un moment convivial sont traqués comme des bêtes.
IL faut dire que le maire socialiste de Nantes fais fort, interdiction de circuler, contraire au traité de Maastrich et interdiction d'amener de l'alcool, en infraction avec la libre circulation des marchandises, encore contraire au traité de Maastrich alors que si je ne m'abuse les socialistes ont tout fait pour que ce traité soit adopter par la France.
On se croirait au goulag carrément un avant goût de ce que nous réserve les socialistes sur l'avenir car visiblement le mot fraternité dans la devise de la France le maire de Nantes n'en à que faire.
Vraiment je suis dégoûté par les agissement des autorités de cette ville et j’espère que ça ne va pas décourager les gens de faire d'autres apéro géant dans d'autre ville.