L'Australien Mark Webber (Red Bull) a remporté le Grand Prix de Hongrie de Formule 1, 12e manche de la saison, devant l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) et l'autre Red Bull de l'Allemand Sebastian Vettel, dimanche à Budapest.
Webber s'est imposé au panache, aidé par un choix stratégique judicieux au vu des circonstances de course.
Deuxième sur la grille, à côté de son poleman de coéquipier, mais du côté sale de la piste, l'Australien a commencé par se faire doubler au départ par Alonso, qu'il a été incapable d'inquiéter pendant 15 tours, sur un ruban étroit rendant les dépassement quasi impossibles.
Mais un morceau d'une monoplace présent sur la piste obligeait la sortie de la voiture de sécurité au 16e tour. Tous les hommes de tête rentraient alors au stand, sauf l'Australien, qui se retrouvait aux commandes de la course, devant son coéquipier.
Le doublé, presque garanti à Red Bull tant son écart sur la concurrence a semblé énorme à Budapest, a pourtant échappé à l'écurie austro-britannique. Vettel a été contraint par les commissaires de la FIA de refaire un passage par les stands, pour avoir maintenu sa monoplace à une trop longue distance de celle de Webber alors que la course était neutralisée.
Alonso, devenu 2e après cette pénalité, n'a ensuite jamais inquiété l'Australien, qui a enchaîné les tours rapides, lui prenant souvent plus d'une seconde par boucle. Se constituant un écart suffisant, Webber a ensuite effectué son changement de pneus, pour rouler sans heurt vers la victoire.
Felipe Massa, sur la deuxième Ferrari, échoue au pied du podium, sans avoir jamais été en mesure de perturber le trio de tête. Il devance Vitaly Petrov, 5e, qui réalise le meilleur résultat de sa jeune carrière pour Renault, devant un autre rookie, Nico Hülkenberg, 6e pour Williams.
Lewis Hamilton est le grand perdant du jour. Contraint à abandonner précocement sur un ennui mécanique, le Britannique a dû laisser la tête du Championnat au vainqueur du jour. Mark Webber le distance désormais de 4 petits points (161 contre 157).
McLaren perd également le premier rang au classement constructeurs, dont s'empare Red Bull pour 8 longueurs (312 contre 304)
Le Parisien
Webber s'est imposé au panache, aidé par un choix stratégique judicieux au vu des circonstances de course.
Deuxième sur la grille, à côté de son poleman de coéquipier, mais du côté sale de la piste, l'Australien a commencé par se faire doubler au départ par Alonso, qu'il a été incapable d'inquiéter pendant 15 tours, sur un ruban étroit rendant les dépassement quasi impossibles.
Mais un morceau d'une monoplace présent sur la piste obligeait la sortie de la voiture de sécurité au 16e tour. Tous les hommes de tête rentraient alors au stand, sauf l'Australien, qui se retrouvait aux commandes de la course, devant son coéquipier.
Le doublé, presque garanti à Red Bull tant son écart sur la concurrence a semblé énorme à Budapest, a pourtant échappé à l'écurie austro-britannique. Vettel a été contraint par les commissaires de la FIA de refaire un passage par les stands, pour avoir maintenu sa monoplace à une trop longue distance de celle de Webber alors que la course était neutralisée.
Alonso, devenu 2e après cette pénalité, n'a ensuite jamais inquiété l'Australien, qui a enchaîné les tours rapides, lui prenant souvent plus d'une seconde par boucle. Se constituant un écart suffisant, Webber a ensuite effectué son changement de pneus, pour rouler sans heurt vers la victoire.
Felipe Massa, sur la deuxième Ferrari, échoue au pied du podium, sans avoir jamais été en mesure de perturber le trio de tête. Il devance Vitaly Petrov, 5e, qui réalise le meilleur résultat de sa jeune carrière pour Renault, devant un autre rookie, Nico Hülkenberg, 6e pour Williams.
Lewis Hamilton est le grand perdant du jour. Contraint à abandonner précocement sur un ennui mécanique, le Britannique a dû laisser la tête du Championnat au vainqueur du jour. Mark Webber le distance désormais de 4 petits points (161 contre 157).
McLaren perd également le premier rang au classement constructeurs, dont s'empare Red Bull pour 8 longueurs (312 contre 304)
Le Parisien