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    Menace sur les services de chirurgie pratiquant moins de 1.500 opérations par an

    Jean-pierre
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    Menace sur les services de chirurgie pratiquant moins de 1.500 opérations par an Empty Menace sur les services de chirurgie pratiquant moins de 1.500 opérations par an

    Message par Jean-pierre Dim 4 Juil - 17:40

    Les services hospitaliers de chirurgie qui auront opéré moins de 1.500 personnes par an entre 2007 et 2009 sont menacés de fermeture, a-t-on appris dimanche auprès du ministère de la Santé, qui prépare des décrets en ce sens pour fin juillet-début août. Ces décrets qui vont "réglementer les activités de médecine et de chirurgie" accorderont cependant un sursis pour les services de chirurgie ayant opéré entre 1.050 et 1.500 personnes par an (soit 70 % de l'objectif), qui disposeront de trois ans pour améliorer leur activité ou s'associer avec un autre établissement afin de pouvoir se maintenir, a-t-on précisé de même source, confirmant des informations parues dans Le Journal du dimanche.

    Le ministère n'a cependant pas confirmé la liste des 54 services hospitaliers menacés à court ou moyen terme de fermeture, dont beaucoup sont situés dans le Nord, le Centre, en Bretagne et quatre outre-mer, publiée dimanche par le JDD. "On ne confirme aucun chiffre, il n'y a pas de listes", a indiqué le ministère de la Santé, précisant qu'il "ne s'agit pas forcément de fermer des services, mais de les réorganiser" ou "les reconvertir".

    "Faire le lien entre volume d'activité et sécurité des gestes pratiqués"

    Les décrets en préparation prévoient également d'autres dérogations : les centres de lutte contre les cancers ne seront pas concernés, ainsi que les services de gynécologie qui font plus de 100 opérations de gynécologie par an. Ces décrets sont destinés à "garantir la sécurité des soins", plusieurs rapports et études ayant "fait un lien entre volume d'activité et sécurité des gestes pratiqués", a-t-on expliqué de même source.

    En dessous de ce seuil de 1.500 personnes opérées par an, les études montrent que "la sécurité des soins n'est pas assurée", a-t-on précisé. Pour le ministère, il y a déjà "un état de fait" : "les gens ne veulent plus se faire soigner dans les petits hôpitaux", et "les médecins ne veulent pas non plus rester dans ces petits hôpitaux", obligeant les directeurs d'établissement à recruter des médecins "mercenaires", qui exigent d'être payés à des tarifs très élevés pour assurer la continuité des soins.

    lepoint.fr

    Il faut être logique, d'une part il y a la sécurité des gens et pour ma part je n'aurais jamais été me faire opérer à l'hôpital d'Ales qui n'a pas bonne réputation et d'autre part ces petites unités coutent une fortune et on ne peut pas indéfiniment avoir une dette abyssale de la sécurité social.

    Il faut le rappeler encore et toujours les soins ne sont pas gratuit en France mais payer par les impôts et les charges qu'on ponctionne sur notre salaire.

      La date/heure actuelle est Ven 26 Avr - 16:33