Mohamed avait 30 ans. D’origine algérienne, il travaillait, depuis 5 années, dans une imprimerie où il était fort apprécié. Il avait décidé que notre pays serait le sien. Il pensait qu’en France, quand on a un accident de voiture, il faut faire un constat. "Ce sont les Français qui font des constats", lui fut-il répondu. Il ne savait pas qu’il ne fallait surtout pas se rebeller, face à des individus qui ne connaissent qu’une loi : celle du plus fort.
Il ne savait pas qu’il fallait, dans ce cas, baisser les yeux, et ne pas demander son reste. Il a voulu appeler la police. Ce fut sa perte. Prévenus par un coup de téléphone, une dizaine de racailles, venus de la cité des Musiciens, aux Mureaux, l’ont massacré. Il en est mort, devant sa mère et son frère. Ce dernier, choqué, dira "Ils sont venus pour faire la guerre, et pour tuer".
Cela fait parler les journaux. Nos plumitifs font les étonnés : pourquoi tant de haine, tant de violence ? De qui se moquent ces journalistes ?
Il y a quelques semaines, dans un édito intitulé "La France est en état de guerre civile, c’est un fait" (1), j’avais relevé, en une semaine, un ensemble de phénomènes, allant, entre autres, du mitraillage des bus, au Tremblay, à la lapidation gratuite d’un paisible retraité à Narbonne (décédé depuis), à l’agression du couple Picard à Perpignan, qui, avec leur bébé, n’ont eu la vie sauve que grâce à l’arrivée de la Bac. Myriam Picard était présente, le 18 juin, aux Champs-Elysées, et elle tint à remercier Riposte Laïque pour le soutien que nous lui avons affiché, lors d’un événement totalement tu par les médias.
Le scenario, lors de ces agressions, est toujours le même. Des groupes de racailles, et ce sont les seuls noms qu’elles méritent, majoritairement issus de l’immigration post-coloniale, sèment la terreur partout où elles passent, et se croient autorisées, souvent à dix contre un, à insulter, frapper, dépouiller, massacrer, parfois tuer, quiconque a la malchance d’être là au mauvais moment.
Ce sont les mêmes qui, depuis vingt ans, dès qu’un des leurs se tue en voulant échapper à un contrôle de police, mettent leur quartier à feu et à sang. Ce sont les mêmes qui, sans autre raison que de se défouler, incendient la voiture de leur voisin, qui en a besoin pour aller travailler. Ce sont les mêmes qui caillassent les pompiers, quand ceux-ci veulent éteindre un incendie. Ce sont les mêmes qui tendent des souricières aux policiers, et veulent leur interdire l’accès à leur territoire. Ce sont les mêmes qui ont incendié 300 écoles, et de nombreux bâtiments de la République, en 2005. Ce sont les mêmes qui ont battu à mort, comme le fut Mohamed, deux malheureux, durant ces émeutes, l’un parce qu’il a voulu prendre une photo, l’autre parce qu’il a voulu éteindre un incendie de poubelle, au pied de son immeuble. Ce sont les mêmes qui ont incendié un bus, à Marseille, brûlant gravement une jeune femme, brillante étudiante, Mama Galledou. Ce sont les mêmes qui ont agressé les lycéens, en 2006, lors d’une manifestation. Ce sont les mêmes qui, lors des manifestations contre le CPE, agressaient les cortèges syndicaux, voulant voler sac à mains, MP3 et téléphones portables. Ce sont les mêmes qui, quand ils font leurs courses, terrorisent en toute impunité les passants et les commerçants. Ce sont les mêmes qui imposent la loi du silence, et intimident quiconque oserait témoigner, lors d’un procès. Ce sont les mêmes qui ovationnent l’assassin de Sohane, lors d’une reconstitution. Ce sont les mêmes qui, les soirs où l’équipe de football algérienne joue, se permettent, en brandissant des drapeaux de ce pays, de saccager gratuitement tout ce qui passe à portée de leurs mains, et de chercher les affrontements avec les forces de l’ordre.
Ce sont des petits fascistes racistes, qui haïssent la France, et souvent les Blancs, encouragés par les chansons des rappeurs et les discours haineux des Indigènes de la République. C’est la France racaille, et elle gagne du terrain, de manière effrayante, malgré le déni de réalité des médias et des politiques.
Nous avons assisté, dans ce contexte inquiétant, ces derniers jours, à plusieurs événements incroyables, dans la France laïque. Ce fut d’abord l’épisode de l’apéro géant saucisson pinard, dans le quartier de la Goutte d’or. "Raciste, extrême droite, provocation", nous avons tout entendu. Mais quand des petits gauchistes communautaristes ont voulu organiser un apéro thé à la menthe viande halal, aucune protestation, au contraire, bien évidemment.
Alors on ne peut s’étonner de la grogne qui monte de la France profonde, loin de l’intellectualisme béat parisien ou politique. Le Français moyen en a assez, il le dit, il le clame et il se révolte contre ce que medias, collabos, islamos et racailles veulent lui imposer.
Aussi, quand la mairie de Dijon a prévu un barbecue halal, pour clôturer un tournoi de football à sept, cela ne pouvait qu’être l’indignation générale. Devant la montée de la fronde, la mairie, jouant du malentendu, a annoncé que bien évidemment, la viande ne serait pas halal... sauf pour les musulmans. Comme s’il était acceptable qu’une municipalité finance le culte musulman en achetant de la viande halal avec l’argent des contribuables !
Or, la stratégie des prosélytes musulmans fonctionne à merveille. Ils multiplient les pressions alimentaires et cherchent à imposer, aussi, un véritable colonialisme au moyen de la nourriture. De plus en plus, dans les écoles, à la fin de l’année, lors de la kermesse scolaire, il n’y a plus que de la viande halal disponible (comme cela a failli être le cas à Dijon). L’offensive existe dans les cantines scolaires, dans les cantines d’entreprise, dans les quartiers où, petit à petit, le boucher traditionnel est remplacé par une boucherie halal. On a même appris par l’ancien international Vikash Dhorsasso que l’ineffable Domenech - sous la pression d’Anelka et de Ribery ? - avait commandé un buffet halal, pour l’ensemble de ses joueurs.