Doit-on s'attendre à une nouvelle paralysie partielle de l'espace aérien européen due au panache de cendres du volcan islandais ? Le risque existe alors que le volcan Eyjafjöll est entré dans une nouvelle phase explosive et il faut s'attendre à des retombées de cendres «considérables». En avril, ces cendres avaient bloqué le ciel européen et cloué au sol 100 000 vols.
«L'éruption est redevenue explosive, la lave a cessé de s'écouler et la plupart du magma est projeté dans tous les sens en raison des explosions dans le cratère», selon un rapport de l'Office météorologique islandais et de l'Institut islandais des sciences de la Terre. «Le panache de cendres s'élève haut au-dessus du cratère (4 000 à 7 000 mètres) et des retombées de cendres considérables sont à attendre sous la direction du vent», poursuit le rapport.
«Il n'y a aucun signe de fin d'éruption»
«Il n'y a aucun signe de fin d'éruption», conclut le rapport. L'Eyjafjöll est en éruption depuis le 14 avril, crachant un nuage de cendres qui a paralysé le trafic aérien pendant près d'une semaine dans le ciel européen. L'émission de cendres avait ensuite diminué et les vents avaient permis la réouverture des aéroports et la reprise des vols en Europe.
Mais l'Irlande a de nouveau imposé une fermeture partielle de son espace aérien, pour la troisième fois en trois jours, à depuis une heure du matin et jusqu'à 14 heures vendredi, ont annoncé les autorités de l'aviation civile. Les espaces aériens au-dessus de l'Irlande, de l'Irlande du Nord et de l'Ecosse avaient été partiellement fermés mercredi pour la deuxième fois en deux jours. Des centaines de vols avaient été annulés, des mesures qui ne s'appliquaient qu'aux vols en-dessous de 20 000 pieds et n'ont donc pas affecté les liaisons transatlantiques.
A la mi-avril, plus de 100 000 vols avaient été annulés et plus de huit millions de passagers bloqués. En France, consommateurs et professionnels ont trouvé un accord pour le remboursement des voyageurs impactés. Le secteur aérien a évalué à 2,5 milliards d'euros les pertes subies
Le Parisien
«L'éruption est redevenue explosive, la lave a cessé de s'écouler et la plupart du magma est projeté dans tous les sens en raison des explosions dans le cratère», selon un rapport de l'Office météorologique islandais et de l'Institut islandais des sciences de la Terre. «Le panache de cendres s'élève haut au-dessus du cratère (4 000 à 7 000 mètres) et des retombées de cendres considérables sont à attendre sous la direction du vent», poursuit le rapport.
«Il n'y a aucun signe de fin d'éruption»
«Il n'y a aucun signe de fin d'éruption», conclut le rapport. L'Eyjafjöll est en éruption depuis le 14 avril, crachant un nuage de cendres qui a paralysé le trafic aérien pendant près d'une semaine dans le ciel européen. L'émission de cendres avait ensuite diminué et les vents avaient permis la réouverture des aéroports et la reprise des vols en Europe.
Mais l'Irlande a de nouveau imposé une fermeture partielle de son espace aérien, pour la troisième fois en trois jours, à depuis une heure du matin et jusqu'à 14 heures vendredi, ont annoncé les autorités de l'aviation civile. Les espaces aériens au-dessus de l'Irlande, de l'Irlande du Nord et de l'Ecosse avaient été partiellement fermés mercredi pour la deuxième fois en deux jours. Des centaines de vols avaient été annulés, des mesures qui ne s'appliquaient qu'aux vols en-dessous de 20 000 pieds et n'ont donc pas affecté les liaisons transatlantiques.
A la mi-avril, plus de 100 000 vols avaient été annulés et plus de huit millions de passagers bloqués. En France, consommateurs et professionnels ont trouvé un accord pour le remboursement des voyageurs impactés. Le secteur aérien a évalué à 2,5 milliards d'euros les pertes subies
Le Parisien
La nature sera toujours plus forte que l'homme ! C'est elle qui aura le dernier mot ! Il fallait la respecter ! Hélas.........