Après les apéros géants Facebook, voici les bagarres géantes Facebook ! « C’est la première fois que j’entends parler d’une chose pareille », reconnaît Pierre Arnaudin, le procureur de Rochefort (Charente-Maritime). Pourtant, mercredi après-midi, une centaine de collégiens et de collégiennes de classes de troisième de différents établissements de la ville, âgés de seulement 13 à 15 ans, se sont bel et bien donné rendez-vous via Facebook pour s’affronter.
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Des dérives de plus en plus fréquentes sur le Net
Les hostilités ont commencé vers 14 h 30 pour s’achever vers 18 heures ! « Heureusement, il n’y a pas eu de blessés et les violences ont été très limitées, car les principaux des collèges avaient eu vent de ce qui se préparait et avaient alerté le commissariat. Tous les effectifs de police de Rochefort ont été mobilisés, avec des renforts de La Rochelle », précise le magistrat.
Un engrenage
« Il y a eu un premier rassemblement d’une trentaine d’adolescents à la corderie royale en début d’après-midi. Les forces de l’ordre les ont dispersés. Un autre groupe, beaucoup plus important, s’est reformé place Colbert vers 16 heures. Il y a eu essentiellement des insultes de part et d’autre. Les filles étaient les plus virulentes et la présence de la police a permis d’éviter que ça dégénère », témoigne le procureur. Tout aurait débuté quelques jours auparavant pour des prétextes futiles, « un regard de travers vis-à-vis d’un collégien, un mot déplacé envers sa copine, puis une petite bagarre ». Le tout se passe alors entre un élève de 13 ans et demi, un autre de 15 ans et une fille de 15 ans et demi, issus de collèges du centre-ville sans problèmes particuliers. Quelques copains commencent à évoquer l’anicroche sur Facebook et à se moquer d’un des deux jeunes qui s’est fait légèrement frapper. Puis c’est l’engrenage. Le ton monte sur Internet. Les invectives et injures se multiplient, jusqu’au rendez-vous pour la bagarre générale sur la place le mercredi après-midi !
« Je pense que désormais tout est apaisé. Les trois jeunes à l’origine du problème ont été convoqués au commissariat avec leurs parents. Comme il n’y a pas eu de blessés, il n’y aura pas de suite judiciaire. Les principaux des collèges ont aussi recadré les choses dans leurs établissements. Nous espérons que cela s’arrêtera là », indique Pierre Arnaudin
Le Parisien
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Les hostilités ont commencé vers 14 h 30 pour s’achever vers 18 heures ! « Heureusement, il n’y a pas eu de blessés et les violences ont été très limitées, car les principaux des collèges avaient eu vent de ce qui se préparait et avaient alerté le commissariat. Tous les effectifs de police de Rochefort ont été mobilisés, avec des renforts de La Rochelle », précise le magistrat.
Un engrenage
« Il y a eu un premier rassemblement d’une trentaine d’adolescents à la corderie royale en début d’après-midi. Les forces de l’ordre les ont dispersés. Un autre groupe, beaucoup plus important, s’est reformé place Colbert vers 16 heures. Il y a eu essentiellement des insultes de part et d’autre. Les filles étaient les plus virulentes et la présence de la police a permis d’éviter que ça dégénère », témoigne le procureur. Tout aurait débuté quelques jours auparavant pour des prétextes futiles, « un regard de travers vis-à-vis d’un collégien, un mot déplacé envers sa copine, puis une petite bagarre ». Le tout se passe alors entre un élève de 13 ans et demi, un autre de 15 ans et une fille de 15 ans et demi, issus de collèges du centre-ville sans problèmes particuliers. Quelques copains commencent à évoquer l’anicroche sur Facebook et à se moquer d’un des deux jeunes qui s’est fait légèrement frapper. Puis c’est l’engrenage. Le ton monte sur Internet. Les invectives et injures se multiplient, jusqu’au rendez-vous pour la bagarre générale sur la place le mercredi après-midi !
« Je pense que désormais tout est apaisé. Les trois jeunes à l’origine du problème ont été convoqués au commissariat avec leurs parents. Comme il n’y a pas eu de blessés, il n’y aura pas de suite judiciaire. Les principaux des collèges ont aussi recadré les choses dans leurs établissements. Nous espérons que cela s’arrêtera là », indique Pierre Arnaudin
Le Parisien
De mieux en mieux !!! Quelle dérive !! La violence est partout s'en devient affolant et peu rassurant ! En groupe ils sont forts mais face a face c'est " Courage Fuyons " !!!! La aussi ...répression ! 13 et 15 ans c'est école et maison basta !